Les Rosbifs ont eu le nez creux
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Les Rosbifs ont eu le nez creux
Grâce au brexit, la GB a vacciné autant de personnes que l'Allemagne , l'Espagne, l'Italie et la France réunies ...
La puissante UE qui protège et qui avait "sécurisé les approvisionnements" n'est pas forcément un avantage ...
La puissante UE qui protège et qui avait "sécurisé les approvisionnements" n'est pas forcément un avantage ...
Diviciac- Messages : 43162
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Diviciac a écrit:Grâce au brexit, la GB a vacciné autant de personnes que l'Allemagne , l'Espagne, l'Italie et la France réunies ...
La puissante UE qui protège et qui avait "sécurisé les approvisionnements" n'est pas forcément un avantage ...
Pour ce qui est des mesures sanitaires la France à tout raté , -- pas grand monde peut dire le contraire , et pour ce qui est du couvre feu quel bordel sur les périfs , - et quand la police s'en mêle c'est impossible d'être à l'heure chez soi --
Sans parler de l'économie qui a baissé de 10% --avec une dette abyssale -
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
ledevois a écrit:Diviciac a écrit:Grâce au brexit, la GB a vacciné autant de personnes que l'Allemagne , l'Espagne, l'Italie et la France réunies ...
La puissante UE qui protège et qui avait "sécurisé les approvisionnements" n'est pas forcément un avantage ...
Pour ce qui est des mesures sanitaires la France à tout raté , -- pas grand monde peut dire le contraire , et pour ce qui est du couvre feu quel bordel sur les périfs , - et quand la police s'en mêle c'est impossible d'être à l'heure chez soi --
Sans parler de l'économie qui a baissé de 10% --avec une dette abyssale -
C'est sans conteste, dans la startup nation, il n'y a pas plus de "stratégie" que de beurre en couille ,ça navigue à vue en se contredisant d'un jour à l'autre.
L'efficacité en GB a au moins un avantage : elle montrera six mois avant la France dans quelles proportions la vaccination enraye le virus "en vrai"
Diviciac- Messages : 43162
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Diviciac a écrit:ledevois a écrit:
Pour ce qui est des mesures sanitaires la France à tout raté , -- pas grand monde peut dire le contraire , et pour ce qui est du couvre feu quel bordel sur les périfs , - et quand la police s'en mêle c'est impossible d'être à l'heure chez soi --
Sans parler de l'économie qui a baissé de 10% --avec une dette abyssale -
C'est sans conteste, dans la startup nation, il n'y a pas plus de "stratégie" que de beurre en couille ,ça navigue à vue en se contredisant d'un jour à l'autre.
L'efficacité en GB a au moins un avantage : elle montrera six mois avant la France dans quelles proportions la vaccination enraye le virus "en vrai"
On ne peut que remarquer l'engagement au bordel Français -- heureusement dernièrement que j'ai la connaissance de chemins acheminant vers chez moi --- quel bordel --! sans parler des flics qui mettent leur grin de sel pour verbaliser --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Oh putaing déjà à l'apéro Ledevois? :roulant:Parles nous en russe on comprendra mieuxledevois a écrit:Diviciac a écrit:
C'est sans conteste, dans la startup nation, il n'y a pas plus de "stratégie" que de beurre en couille ,ça navigue à vue en se contredisant d'un jour à l'autre.
L'efficacité en GB a au moins un avantage : elle montrera six mois avant la France dans quelles proportions la vaccination enraye le virus "en vrai"
On ne peut que remarquer l'engagement au bordel Français -- heureusement dernièrement que j'ai la connaissance de chemins acheminant vers chez moi --- quel bordel --! sans parler des flics qui mettent leur grin de sel pour verbaliser --
Invité- Invité
Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Magicfly a écrit:Oh putaing déjà à l'apéro Ledevois? :roulant:Parles nous en russe on comprendra mieuxledevois a écrit:
On ne peut que remarquer l'engagement au bordel Français -- heureusement dernièrement que j'ai la connaissance de chemins acheminant vers chez moi --- quel bordel --! sans parler des flics qui mettent leur grin de sel pour verbaliser --
Tu es beaucoup plus macromania cha-cha-cha que Français -- faut dire que Ö CON c'est pas la France -
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Diviciac- Messages : 43162
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
T'es anti vaccin?Plume a écrit:Chez nous on vaccine moins mais on décède moins ?
Invité- Invité
Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
On compte moins les morts aussi ...Plume a écrit:Chez nous on vaccine moins mais on décède moins ?
Diviciac- Messages : 43162
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Covid-19 : le chaos dans les hôpitaux britanniques, un fiasco prévisible ?
ICI
[url=https://twitter.com/intent/tweet?url=https%3A%2F%2Ff24.my%2F7Fmn.T&via=FRANCE24&related=Stbslam&text=Covid-19 %3A le chaos dans les h%C3%B4pitaux britanniques%2C un fiasco pr%C3%A9visible][/url][url=https://web.whatsapp.com/send?text=Covid-19 %3A le chaos dans les h%C3%B4pitaux britanniques%2C un fiasco pr%C3%A9visible %3F - https%3A%2F%2Ff24.my%2F7Fmn.W][/url]
Publié le : 12/01/2021 - 19:50
La situation sanitaire est de plus en plus critique au Royaume-Uni alors que le pays subit de plein fouet les effets d'un variant du Covid-19 considéré comme plus contagieux. Tandis que le gouvernement est pointé du doigt notamment pour ses retards dans les prises de décision, d'autres estiment que la crise découle aussi d'années de restrictions budgétaires.
Le système de santé britannique est "actuellement confronté à la plus dangereuse situation dont on puisse se souvenir". Chris Whitty, médecin-chef pour l'Angleterre, n'a pas mâché ses mots, lundi 11 janvier, pour décrire la crise sanitaire que traverse actuellement son pays face au Covid-19. Selon lui, les services de santé se préparent à leurs "pires semaines de la pandémie".
Le Royaume-Uni est le pays d'Europe le plus endeuillé par la pandémie avec près de 82 000 morts. Alors que la morgue provisoire installée au printemps à Epsom, dans le comté du Surrey, en banlieue sud-ouest de Londres, se remplit de nouveau, le maire de Londres Sadiq Khan a lui aussi tiré la sonnette d'alarme. Il a déclaré vendredi un état d'"incident majeur" dans la capitale britannique, où le nouveau coronavirus est "hors de contrôle".
"La situation est critique avec un nombre quotidien de contaminations et de morts extrêmement élevé", résume Marisa Miraldo, professeure d'économie de la santé à l'Imperial College de Londres. "Il y a des rapports qui montrent que des patients attendent des heures dans des ambulances à l'entrée des hôpitaux", ajoute-t-elle.
Un gouvernement qui tarde à réagir
Le Royaume-Uni est confronté depuis novembre à un nouveau variant du virus considéré comme beaucoup plus contagieux. S'il ne semble pas intrinsèquement plus dangereux que le virus classique, il serait, selon des études, de 50 % à 75 % plus contagieux, ce qui augmente le risque de saturation des hôpitaux par des patients atteints du Covid-19. Pour Marisa Miraldo, ce taux de reproduction du variant le rend plus difficile à contrôler, mais d'autres raisons peuvent aussi expliquer la recrudescence de la pandémie. "Le contrôle de l'infection dépend en grande partie de la rigueur des stratégies sanitaires et de leur mise en œuvre au moment opportun", explique cette spécialiste du système de santé qui a publié des rapports sur le sujet avec ses collègues Sabine van Elsland et Katharina Hauck.
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, est ainsi depuis plusieurs mois sous le feu des critiques pour sa gestion de la crise. Au printemps, il avait été blâmé pour avoir déclenché tardivement le premier confinement, instauré le 23 mars en Angleterre. "Quand des mesures fortes sont prises plus tôt, les études montrent que les taux de morbidité et de mortalité liés au Covid-19 sont moins élevés. Selon de récentes recherches, si le premier confinement avait été décidé une semaine plus tôt, le nombre de morts aurait baissé de 36 700 à 15 700", souligne Marisa Miraldo.
Cet automne, la leçon ne semblait pourtant pas avoir été retenue. Le chef du gouvernement a encore une fois tardé à réagir. Alors que des scientifiques alertaient déjà en septembre sur une recrudescence de l'épidémie, Boris Johnson n'a décrété le deuxième confinement que le 31 octobre. À Noël, c'est aussi sous la contrainte qu'il a finalement décidé de reconfiner une partie de son pays alors qu'il avait promis dans un premier temps un relâchement des mesures pour les fêtes de fin d'année.
Selon un rapport du comité parlementaire des sciences et des technologies publié vendredi, le gouvernement n'a pas non plus été assez transparent en ce qui concerne les conseils scientifiques qu'il a reçus et n'a pas réussi à tirer assez d'enseignements de la situation dans les autres pays.
Le NHS sous haute tension
Certains observateurs notent aussi que le Royaume-Uni est plus affecté en raison des problèmes inhérents à son système public de santé, le NHS (pour National Health Service). Après des décennies de réductions budgétaires, les soignants manquent cruellement de moyens. "Nous venons de traverser plus d'une décennie d'austérité financière qui a entraîné des coupes importantes dans notre système de santé. Cela a affaibli notre capacité à répondre efficacement à cette pandémie", estime ainsi Sarah Hawkes, professeure de santé publique mondiale à l'University College de Londres. "Les hôpitaux doivent aujourd'hui faire appel à du personnel extérieur pour les aider à faire face à l'afflux de patients."
En plein chaos, des médecins ou des infirmiers du NHS confient chaque jour leur désarroi aux médias. "L'élastique va se rompre d'ici peu et c'est notre grande peur actuellement", raconte ainsi le docteur Alice Carter de l'University College Hospital de Londres à la BBC. "Si nous en arrivons là, nous ne pourrons plus accueillir personne en soins intensifs, pas seulement les patients Covid, mais aussi tous ceux qui auront subi un accident de la route, une crise cardiaque ou un AVC". "Nous sommes tellement sous tension que nous devons faire des choix entre les patients", a aussi témoigné l'infirmière Ashleigh Shillingford. "Ce n'est pas le NHS avec lequel j'ai grandi."
Pour la professeure Sarah Hawkes, cette crise est aussi le reflet de la société britannique. "Le Royaume-Uni a atteint des niveaux d'inégalité parmi les plus élevés au sein des pays développés. L'espérance de vie stagne. Les plus pauvres ont une santé précaire et peu d'opportunités d'avenir", décrit cette spécialiste de santé publique. "Le Covid-19 s'est ajouté à cet ensemble déjà fragile. Ce sont les membres les plus vulnérables de notre société qui sont touchés le plus sévèrement par la pandémie."
Les espoirs dans le vaccin
Malgré tout, le gouvernement estime avoir fait des progrès depuis le printemps dernier. Le Royaume-Uni conduit ainsi chaque jour près de 500 000 tests, tandis qu'un système national de traçage a été mis en place et permet d'isoler les personnes contaminées. Le pays fonde aussi ses espoirs sur le programme de vaccination massive pour sortir de la pandémie d'ici au printemps. Premier pays à approuver les vaccins développés par Pfizer-BioNTech et par AstraZeneca-Oxford, la Grande-Bretagne a déjà vacciné 2 millions de personnes. Et elle a prévu d'ouvrir sept centres de vaccination à grande échelle afin d'atteindre l'objectif de 15 millions de personnes vaccinées d'ici à la mi-février.
"Dans les prochains mois, nous ne verrons pas un effet notable de ces vaccinations", note toutefois Marisa Miraldo. "Vers mars, nous pourrons alléger certaines contraintes comme la distanciation sociale ou le port du masque, mais nous n'aurons pas un retour à la normale tout de suite."
En attendant, le gouvernement britannique a exhorté mardi la population à respecter le confinement, au risque sinon de "coûter des vies". Kit Malthouse, le secrétaire d'État chargé de la Sécurité publique, a prévenu, sur Sky News, qu'un durcissement des restrictions était envisagé si la situation ne s'améliorait pas sur le front de la pandémie. "Si on veut […] faire en sorte que ce soit le dernier gros confinement du pays, il est très important que nous respections tous les règles."
On n'a rien à leur envier. Malgré tout, j'espère qu'ils vont s'en sortir.
ICI
[url=https://twitter.com/intent/tweet?url=https%3A%2F%2Ff24.my%2F7Fmn.T&via=FRANCE24&related=Stbslam&text=Covid-19 %3A le chaos dans les h%C3%B4pitaux britanniques%2C un fiasco pr%C3%A9visible][/url][url=https://web.whatsapp.com/send?text=Covid-19 %3A le chaos dans les h%C3%B4pitaux britanniques%2C un fiasco pr%C3%A9visible %3F - https%3A%2F%2Ff24.my%2F7Fmn.W][/url]
Publié le : 12/01/2021 - 19:50
La situation sanitaire est de plus en plus critique au Royaume-Uni alors que le pays subit de plein fouet les effets d'un variant du Covid-19 considéré comme plus contagieux. Tandis que le gouvernement est pointé du doigt notamment pour ses retards dans les prises de décision, d'autres estiment que la crise découle aussi d'années de restrictions budgétaires.
Le système de santé britannique est "actuellement confronté à la plus dangereuse situation dont on puisse se souvenir". Chris Whitty, médecin-chef pour l'Angleterre, n'a pas mâché ses mots, lundi 11 janvier, pour décrire la crise sanitaire que traverse actuellement son pays face au Covid-19. Selon lui, les services de santé se préparent à leurs "pires semaines de la pandémie".
Le Royaume-Uni est le pays d'Europe le plus endeuillé par la pandémie avec près de 82 000 morts. Alors que la morgue provisoire installée au printemps à Epsom, dans le comté du Surrey, en banlieue sud-ouest de Londres, se remplit de nouveau, le maire de Londres Sadiq Khan a lui aussi tiré la sonnette d'alarme. Il a déclaré vendredi un état d'"incident majeur" dans la capitale britannique, où le nouveau coronavirus est "hors de contrôle".
"La situation est critique avec un nombre quotidien de contaminations et de morts extrêmement élevé", résume Marisa Miraldo, professeure d'économie de la santé à l'Imperial College de Londres. "Il y a des rapports qui montrent que des patients attendent des heures dans des ambulances à l'entrée des hôpitaux", ajoute-t-elle.
Un gouvernement qui tarde à réagir
Le Royaume-Uni est confronté depuis novembre à un nouveau variant du virus considéré comme beaucoup plus contagieux. S'il ne semble pas intrinsèquement plus dangereux que le virus classique, il serait, selon des études, de 50 % à 75 % plus contagieux, ce qui augmente le risque de saturation des hôpitaux par des patients atteints du Covid-19. Pour Marisa Miraldo, ce taux de reproduction du variant le rend plus difficile à contrôler, mais d'autres raisons peuvent aussi expliquer la recrudescence de la pandémie. "Le contrôle de l'infection dépend en grande partie de la rigueur des stratégies sanitaires et de leur mise en œuvre au moment opportun", explique cette spécialiste du système de santé qui a publié des rapports sur le sujet avec ses collègues Sabine van Elsland et Katharina Hauck.
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, est ainsi depuis plusieurs mois sous le feu des critiques pour sa gestion de la crise. Au printemps, il avait été blâmé pour avoir déclenché tardivement le premier confinement, instauré le 23 mars en Angleterre. "Quand des mesures fortes sont prises plus tôt, les études montrent que les taux de morbidité et de mortalité liés au Covid-19 sont moins élevés. Selon de récentes recherches, si le premier confinement avait été décidé une semaine plus tôt, le nombre de morts aurait baissé de 36 700 à 15 700", souligne Marisa Miraldo.
Cet automne, la leçon ne semblait pourtant pas avoir été retenue. Le chef du gouvernement a encore une fois tardé à réagir. Alors que des scientifiques alertaient déjà en septembre sur une recrudescence de l'épidémie, Boris Johnson n'a décrété le deuxième confinement que le 31 octobre. À Noël, c'est aussi sous la contrainte qu'il a finalement décidé de reconfiner une partie de son pays alors qu'il avait promis dans un premier temps un relâchement des mesures pour les fêtes de fin d'année.
Selon un rapport du comité parlementaire des sciences et des technologies publié vendredi, le gouvernement n'a pas non plus été assez transparent en ce qui concerne les conseils scientifiques qu'il a reçus et n'a pas réussi à tirer assez d'enseignements de la situation dans les autres pays.
Le NHS sous haute tension
Certains observateurs notent aussi que le Royaume-Uni est plus affecté en raison des problèmes inhérents à son système public de santé, le NHS (pour National Health Service). Après des décennies de réductions budgétaires, les soignants manquent cruellement de moyens. "Nous venons de traverser plus d'une décennie d'austérité financière qui a entraîné des coupes importantes dans notre système de santé. Cela a affaibli notre capacité à répondre efficacement à cette pandémie", estime ainsi Sarah Hawkes, professeure de santé publique mondiale à l'University College de Londres. "Les hôpitaux doivent aujourd'hui faire appel à du personnel extérieur pour les aider à faire face à l'afflux de patients."
En plein chaos, des médecins ou des infirmiers du NHS confient chaque jour leur désarroi aux médias. "L'élastique va se rompre d'ici peu et c'est notre grande peur actuellement", raconte ainsi le docteur Alice Carter de l'University College Hospital de Londres à la BBC. "Si nous en arrivons là, nous ne pourrons plus accueillir personne en soins intensifs, pas seulement les patients Covid, mais aussi tous ceux qui auront subi un accident de la route, une crise cardiaque ou un AVC". "Nous sommes tellement sous tension que nous devons faire des choix entre les patients", a aussi témoigné l'infirmière Ashleigh Shillingford. "Ce n'est pas le NHS avec lequel j'ai grandi."
Pour la professeure Sarah Hawkes, cette crise est aussi le reflet de la société britannique. "Le Royaume-Uni a atteint des niveaux d'inégalité parmi les plus élevés au sein des pays développés. L'espérance de vie stagne. Les plus pauvres ont une santé précaire et peu d'opportunités d'avenir", décrit cette spécialiste de santé publique. "Le Covid-19 s'est ajouté à cet ensemble déjà fragile. Ce sont les membres les plus vulnérables de notre société qui sont touchés le plus sévèrement par la pandémie."
Les espoirs dans le vaccin
Malgré tout, le gouvernement estime avoir fait des progrès depuis le printemps dernier. Le Royaume-Uni conduit ainsi chaque jour près de 500 000 tests, tandis qu'un système national de traçage a été mis en place et permet d'isoler les personnes contaminées. Le pays fonde aussi ses espoirs sur le programme de vaccination massive pour sortir de la pandémie d'ici au printemps. Premier pays à approuver les vaccins développés par Pfizer-BioNTech et par AstraZeneca-Oxford, la Grande-Bretagne a déjà vacciné 2 millions de personnes. Et elle a prévu d'ouvrir sept centres de vaccination à grande échelle afin d'atteindre l'objectif de 15 millions de personnes vaccinées d'ici à la mi-février.
"Dans les prochains mois, nous ne verrons pas un effet notable de ces vaccinations", note toutefois Marisa Miraldo. "Vers mars, nous pourrons alléger certaines contraintes comme la distanciation sociale ou le port du masque, mais nous n'aurons pas un retour à la normale tout de suite."
En attendant, le gouvernement britannique a exhorté mardi la population à respecter le confinement, au risque sinon de "coûter des vies". Kit Malthouse, le secrétaire d'État chargé de la Sécurité publique, a prévenu, sur Sky News, qu'un durcissement des restrictions était envisagé si la situation ne s'améliorait pas sur le front de la pandémie. "Si on veut […] faire en sorte que ce soit le dernier gros confinement du pays, il est très important que nous respections tous les règles."
On n'a rien à leur envier. Malgré tout, j'espère qu'ils vont s'en sortir.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Nadou a écrit:Covid-19 : le chaos dans les hôpitaux britanniques, un fiasco prévisible ?
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Publié le : 12/01/2021 - 19:50
La situation sanitaire est de plus en plus critique au Royaume-Uni alors que le pays subit de plein fouet les effets d'un variant du Covid-19 considéré comme plus contagieux. Tandis que le gouvernement est pointé du doigt notamment pour ses retards dans les prises de décision, d'autres estiment que la crise découle aussi d'années de restrictions budgétaires.
Le système de santé britannique est "actuellement confronté à la plus dangereuse situation dont on puisse se souvenir". Chris Whitty, médecin-chef pour l'Angleterre, n'a pas mâché ses mots, lundi 11 janvier, pour décrire la crise sanitaire que traverse actuellement son pays face au Covid-19. Selon lui, les services de santé se préparent à leurs "pires semaines de la pandémie".
Le Royaume-Uni est le pays d'Europe le plus endeuillé par la pandémie avec près de 82 000 morts. Alors que la morgue provisoire installée au printemps à Epsom, dans le comté du Surrey, en banlieue sud-ouest de Londres, se remplit de nouveau, le maire de Londres Sadiq Khan a lui aussi tiré la sonnette d'alarme. Il a déclaré vendredi un état d'"incident majeur" dans la capitale britannique, où le nouveau coronavirus est "hors de contrôle".
"La situation est critique avec un nombre quotidien de contaminations et de morts extrêmement élevé", résume Marisa Miraldo, professeure d'économie de la santé à l'Imperial College de Londres. "Il y a des rapports qui montrent que des patients attendent des heures dans des ambulances à l'entrée des hôpitaux", ajoute-t-elle.
Un gouvernement qui tarde à réagir
Le Royaume-Uni est confronté depuis novembre à un nouveau variant du virus considéré comme beaucoup plus contagieux. S'il ne semble pas intrinsèquement plus dangereux que le virus classique, il serait, selon des études, de 50 % à 75 % plus contagieux, ce qui augmente le risque de saturation des hôpitaux par des patients atteints du Covid-19. Pour Marisa Miraldo, ce taux de reproduction du variant le rend plus difficile à contrôler, mais d'autres raisons peuvent aussi expliquer la recrudescence de la pandémie. "Le contrôle de l'infection dépend en grande partie de la rigueur des stratégies sanitaires et de leur mise en œuvre au moment opportun", explique cette spécialiste du système de santé qui a publié des rapports sur le sujet avec ses collègues Sabine van Elsland et Katharina Hauck.
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, est ainsi depuis plusieurs mois sous le feu des critiques pour sa gestion de la crise. Au printemps, il avait été blâmé pour avoir déclenché tardivement le premier confinement, instauré le 23 mars en Angleterre. "Quand des mesures fortes sont prises plus tôt, les études montrent que les taux de morbidité et de mortalité liés au Covid-19 sont moins élevés. Selon de récentes recherches, si le premier confinement avait été décidé une semaine plus tôt, le nombre de morts aurait baissé de 36 700 à 15 700", souligne Marisa Miraldo.
Cet automne, la leçon ne semblait pourtant pas avoir été retenue. Le chef du gouvernement a encore une fois tardé à réagir. Alors que des scientifiques alertaient déjà en septembre sur une recrudescence de l'épidémie, Boris Johnson n'a décrété le deuxième confinement que le 31 octobre. À Noël, c'est aussi sous la contrainte qu'il a finalement décidé de reconfiner une partie de son pays alors qu'il avait promis dans un premier temps un relâchement des mesures pour les fêtes de fin d'année.
Selon un rapport du comité parlementaire des sciences et des technologies publié vendredi, le gouvernement n'a pas non plus été assez transparent en ce qui concerne les conseils scientifiques qu'il a reçus et n'a pas réussi à tirer assez d'enseignements de la situation dans les autres pays.
Le NHS sous haute tension
Certains observateurs notent aussi que le Royaume-Uni est plus affecté en raison des problèmes inhérents à son système public de santé, le NHS (pour National Health Service). Après des décennies de réductions budgétaires, les soignants manquent cruellement de moyens. "Nous venons de traverser plus d'une décennie d'austérité financière qui a entraîné des coupes importantes dans notre système de santé. Cela a affaibli notre capacité à répondre efficacement à cette pandémie", estime ainsi Sarah Hawkes, professeure de santé publique mondiale à l'University College de Londres. "Les hôpitaux doivent aujourd'hui faire appel à du personnel extérieur pour les aider à faire face à l'afflux de patients."
En plein chaos, des médecins ou des infirmiers du NHS confient chaque jour leur désarroi aux médias. "L'élastique va se rompre d'ici peu et c'est notre grande peur actuellement", raconte ainsi le docteur Alice Carter de l'University College Hospital de Londres à la BBC. "Si nous en arrivons là, nous ne pourrons plus accueillir personne en soins intensifs, pas seulement les patients Covid, mais aussi tous ceux qui auront subi un accident de la route, une crise cardiaque ou un AVC". "Nous sommes tellement sous tension que nous devons faire des choix entre les patients", a aussi témoigné l'infirmière Ashleigh Shillingford. "Ce n'est pas le NHS avec lequel j'ai grandi."
Pour la professeure Sarah Hawkes, cette crise est aussi le reflet de la société britannique. "Le Royaume-Uni a atteint des niveaux d'inégalité parmi les plus élevés au sein des pays développés. L'espérance de vie stagne. Les plus pauvres ont une santé précaire et peu d'opportunités d'avenir", décrit cette spécialiste de santé publique. "Le Covid-19 s'est ajouté à cet ensemble déjà fragile. Ce sont les membres les plus vulnérables de notre société qui sont touchés le plus sévèrement par la pandémie."
Les espoirs dans le vaccin
Malgré tout, le gouvernement estime avoir fait des progrès depuis le printemps dernier. Le Royaume-Uni conduit ainsi chaque jour près de 500 000 tests, tandis qu'un système national de traçage a été mis en place et permet d'isoler les personnes contaminées. Le pays fonde aussi ses espoirs sur le programme de vaccination massive pour sortir de la pandémie d'ici au printemps. Premier pays à approuver les vaccins développés par Pfizer-BioNTech et par AstraZeneca-Oxford, la Grande-Bretagne a déjà vacciné 2 millions de personnes. Et elle a prévu d'ouvrir sept centres de vaccination à grande échelle afin d'atteindre l'objectif de 15 millions de personnes vaccinées d'ici à la mi-février.
"Dans les prochains mois, nous ne verrons pas un effet notable de ces vaccinations", note toutefois Marisa Miraldo. "Vers mars, nous pourrons alléger certaines contraintes comme la distanciation sociale ou le port du masque, mais nous n'aurons pas un retour à la normale tout de suite."
En attendant, le gouvernement britannique a exhorté mardi la population à respecter le confinement, au risque sinon de "coûter des vies". Kit Malthouse, le secrétaire d'État chargé de la Sécurité publique, a prévenu, sur Sky News, qu'un durcissement des restrictions était envisagé si la situation ne s'améliorait pas sur le front de la pandémie. "Si on veut […] faire en sorte que ce soit le dernier gros confinement du pays, il est très important que nous respections tous les règles."
On n'a rien à leur envier. Malgré tout, j'espère qu'ils vont s'en sortir.
Quelque 1,5 million de Britanniques ont déjà été vaccinés depuis le 8 décembre -- eux vont s'en sortir
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Nadou a écrit:
"Premier pays à approuver les vaccins développés par Pfizer-BioNTech et par AstraZeneca-Oxford, la Grande-Bretagne a déjà vacciné 2 millions de personnes."
On n'a rien à leur envier. Malgré tout, j'espère qu'ils vont s'en sortir.
Ca date un peu : hier ils en étaient à 9,3 millions.
Covid-19 vaccine: Latest updates on Novavax, Oxford, and Pfizer breakthroughs - and who will get it first? (telegraph.co.uk)
Diviciac- Messages : 43162
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Pas "1,5": 9,3 millions depuis hier . Six fois plus que la startup nèchieune.ledevois a écrit:Nadou a écrit:
On n'a rien à leur envier. Malgré tout, j'espère qu'ils vont s'en sortir.
Quelque 1,5 million de Britanniques ont déjà été vaccinés depuis le 8 décembre -- eux vont s'en sortir
Diviciac- Messages : 43162
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Diviciac a écrit:Pas "1,5": 9,3 millions depuis hier . Six fois plus que la startup nèchieune.ledevois a écrit:
Quelque 1,5 million de Britanniques ont déjà été vaccinés depuis le 8 décembre -- eux vont s'en sortir
Va falloir mettre les Anglais en France pour gérer cette pandémie --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
ledevois a écrit:Diviciac a écrit:
Pas "1,5": 9,3 millions depuis hier . Six fois plus que la startup nèchieune.
Va falloir mettre les Anglais en France pour gérer cette pandémie --
Il y a des signes encourageants outre-Manche : depuis qu'ils vaccinent et qu'ils ont confiné : le nombre de nouveaux infectés et de macchabées par jour à été divisé par quatre.
Comme je suis un super infectiologue et un spécialiste des pandémies, je prédis déjà que l'imprévisible va se produire: Si Manu ne prend pas de mesures strictes, dans moins de deux semaines, les Rosbifs auront moins de morts et de contaminations par jour que la startup nèchieune.
Diviciac- Messages : 43162
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Diviciac a écrit:Pas "1,5": 9,3 millions depuis hier . Six fois plus que la startup nèchieune.ledevois a écrit:Nadou a écrit:
On n'a rien à leur envier. Malgré tout, j'espère qu'ils vont s'en sortir.
Quelque 1,5 million de Britanniques ont déjà été vaccinés depuis le 8 décembre -- eux vont s'en sortir
En tenant compte du fait qu'ils ont reporté la 2eme dose à 6 semaines ? A chacun sa stratégie.
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
L'UE met en place un système de vérification de l'immunité donnée par les vaccins et leur dangerosité.
Les Anglais se précipitent sans réelle sûreté.
Ils gagnent quelques semaines mais avec une prise de risque.
A suivre dans quelques mois.
Les Anglais se précipitent sans réelle sûreté.
Ils gagnent quelques semaines mais avec une prise de risque.
A suivre dans quelques mois.
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Source ?Nadou a écrit:Diviciac a écrit:
Pas "1,5": 9,3 millions depuis hier . Six fois plus que la startup nèchieune.
En tenant compte du fait qu'ils ont reporté la 2eme dose à 6 semaines ? A chacun sa stratégie.
Diviciac- Messages : 43162
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Vaccination contre le Covid-19 : quatre questions sur le choix du Royaume-Uni d'allonger le délai entre les deux injectionsDiviciac a écrit:Source ?Nadou a écrit:Diviciac a écrit:
Pas "1,5": 9,3 millions depuis hier . Six fois plus que la startup nèchieune.
En tenant compte du fait qu'ils ont reporté la 2eme dose à 6 semaines ? A chacun sa stratégie.
Outre-Manche, les deux doses de vaccin peuvent désormais être administrées jusqu'à trois mois d'écart, alors que les fabricants ont réalisé leurs études en se basant sur un délai de trois à quatre semaines. Londres mise sur un effet de masse pour freiner l'épidémie, mais cette stratégie suscite quelques interrogations.
OUPS ! jusqu'à 3 mois ...
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccination-contre-le-covid-19-quatre-questions-sur-le-choix-du-royaume-uni-d-allonger-le-delai-entre-les-deux-injections_4241911.html
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
C'est un choix stratégique ...
"Un modèle où l'on peut vacciner deux fois plus de personnes dans les deux à trois prochains mois est évidemment bien plus préférable en matière de santé publique que celui où l'on vaccine la moitié du nombre mais avec une protection légèrement supérieure."
"Un modèle où l'on peut vacciner deux fois plus de personnes dans les deux à trois prochains mois est évidemment bien plus préférable en matière de santé publique que celui où l'on vaccine la moitié du nombre mais avec une protection légèrement supérieure."
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Le Royaume-Uni va-t-il "mélanger" les doses de vaccins ?
Un autre point a également été adopté, plus discrètement. Le Royaume-Uni autorise désormais (PDF en anglais) – à titre exceptionnel, en cas de pénurie ou si le vaccin utilisé lors de la première dose est inconnu – le recours à une seconde dose issue d'un autre vaccin que celui employé lors de la première injection. Tout en déconseillant un tel recours, les autorités britanniques justifient leur choix en soulignant les similitudes entre le vaccin à ARN de Pfizer et celui à vecteur viral d'AstraZeneca, qui visent tous deux à déclencher la production de l'antigène (la protéine S) dans les cellules de la personne vaccinée.Certes, certains vaccins sont parfois interchangeables, mais rien n'indique qu'il en soit de même avec ces produits dirigés contre le Covid-19. "Il n'y a pas la moindre donnée sur ce point", a d'ailleurs réagi John Moore, professeur d'immunologie à l'université américaine de Cornell, dans le New York Times (article en anglais). Selon lui, les responsables britanniques semblent "avoir complètement abandonné la science et essaient juste de trouver une porte de sortie dans ce bazar". Cette approche vaccinale hybride est "prématurée", juge également Saad Omer, expert des vaccins à l'université de Yale, également cité dans le quotidien américain.
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Re: Les Rosbifs ont eu le nez creux
Le RU vaccine beaucoup avec le vaccin AstraZeneca. En UE on choisira sans doute de ne l'administrer qu'au moins de 65 ans en raison d'une suspicion de manque d'efficacité sur les séniors.
Boris fonce, c'est sûr mais ne va-t-il pas trop vite ? Franchement, je ne trancherai pas, je n'ai pas les connaissances scientifiques pour le faire.
Boris fonce, c'est sûr mais ne va-t-il pas trop vite ? Franchement, je ne trancherai pas, je n'ai pas les connaissances scientifiques pour le faire.
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