Variants du SARS-CoV-2 : la génomique à notre secours !

Diviciac a écrit:Les dernières infos sur ce variant ne sont guère optimistes 

Covid19 : cette modélisation de l'Inserm qui suggère la domination du variant anglais en France entre fin février et mi-mars (industrie-techno.com)
Comment quantifier la menace pour la France du variant anglais ? Une modélisation de quatre chercheuses de l'Inserm (Institut Pierre-Louis d’épidémologie et de santé publique) publiée samedi 16 janvier donne des éléments de réponse : « Nous estimons que le variant deviendrait dominant en France entre fin février et mi-mars, en fonction de l'évolution épidémique et de l'augmentation estimée de la transmissibilité du VOC [VOC-202012/01, le variant anglais, ndlr] », écrivent les chercheuses.
Cette domination passerait par une envolée des admissions en hôpital : « Les nouvelles hospitalisations hebdomadaires devraient atteindre le niveau du pic de la première vague (environ 25 000 hospitalisations) entre mi-février et début avril, en l’absence d’interventions. »
Ce rapport s'appuie d'une part sur les estimations de Santé publique France, suite à l'enquête flash menée début janvier, indiquant que 1,4% des nouveaux cas de COVID-19 le 8 janvier étaient dus au variant anglais (VOC-202012/01). Il s'appuie d'autre part sur plusieurs études en cours estimant que le variant anglais est de 50 à 70% plus contagieux que le Sars-Cov-2 dominant jusqu'ici.

Nestor a écrit:

Diviciac a écrit:Les dernières infos sur ce variant ne sont guère optimistes 

Covid19 : cette modélisation de l'Inserm qui suggère la domination du variant anglais en France entre fin février et mi-mars (industrie-techno.com)
Comment quantifier la menace pour la France du variant anglais ? Une modélisation de quatre chercheuses de l'Inserm (Institut Pierre-Louis d’épidémologie et de santé publique) publiée samedi 16 janvier donne des éléments de réponse : « Nous estimons que le variant deviendrait dominant en France entre fin février et mi-mars, en fonction de l'évolution épidémique et de l'augmentation estimée de la transmissibilité du VOC [VOC-202012/01, le variant anglais, ndlr] », écrivent les chercheuses.
Cette domination passerait par une envolée des admissions en hôpital : « Les nouvelles hospitalisations hebdomadaires devraient atteindre le niveau du pic de la première vague (environ 25 000 hospitalisations) entre mi-février et début avril, en l’absence d’interventions. »
Ce rapport s'appuie d'une part sur les estimations de Santé publique France, suite à l'enquête flash menée début janvier, indiquant que 1,4% des nouveaux cas de COVID-19 le 8 janvier étaient dus au variant anglais (VOC-202012/01). Il s'appuie d'autre part sur plusieurs études en cours estimant que le variant anglais est de 50 à 70% plus contagieux que le Sars-Cov-2 dominant jusqu'ici.

Ah ouiii ...quand même !
C'est fou non ?

Pour un mois, je vous laisse calculer .  

Diviciac a écrit:

Nestor a écrit:

Ah ouiii ...quand même !
C'est fou non ?

  
Ben ça fait quand même environ 280 cas contre à peine une dizaine quelques jours plus tôt. C'est ce qu'on appelle une progression exponentielle ou une croissance géométrique de raison 28.
Question : si dix cas en font  280 en trois jours, combien ces cas en feront ils trois jour plus tard? ... Un mois plus tard ?  


Solution pour trois jours 7840. 
Pour un mois, je vous laisse calculer .  


J'ai une bonne nouvelle : une dame qui a été animatrice et qui aime les maths peut vous expliquer. 

Nestor a écrit:Nenette ??

Plume a écrit:  Je veux bien prendre la place de cette Nenette !

Vous voyez, mon petit Nestor, Tonton Diviciac vous a encore trouvé une ouverture... ne la gâchez pas . 

Diviciac a écrit:

Plume a écrit:  Je veux bien prendre la place de cette Nenette !

Vous voyez, mon petit Nestor, Tonton Diviciac vous a encore trouvé une ouverture... ne la gâchez pas . 

Plume a écrit:  Je veux bien prendre la place de cette Nenette !