Les donneurs de leçon célèbres qui devraient avoir honte
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Les donneurs de leçon célèbres qui devraient avoir honte
Virginie Despentes, dans Les Inrocks du 17 janvier 2015 :
« J'ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s'acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que de vivre à genoux. J'ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. […] Je les ai aimés jusque dans leur maladresse – quand je les ai vus armes à la main semer la terreur en hurlant “on a vengé le prophète” et ne pas trouver le ton juste pour le dire. Du mauvais film d'action, du mauvais gangsta rap. Jusque dans leur acte héroïque, quelque chose ne réussissait pas. Il y a eu deux jours comme ça de choc tellement intense que j'ai plané dans un amour de tous – dans un rayon puissant. »
Edwy Plenel, « Lettre à la France », Mediapart, le 20 janvier :
« La proclamation de la liberté d'expression, cette défense du droit à la caricature, de ses excès ironiques ou moqueurs, qui accompagne la solidarité avec Charlie Hebdo, n'implique pas que notre vie publique doive s'abaisser et s'égarer dans la détestation d'une partie de notre peuple en raison de son origine, de sa culture ou de sa religion. La haine ne saurait avoir l'excuse de l'humour. »
Edwy Plenel, tweetant le 17 janvier un texte publié par Mediapart et intitulé « L'enfance miséreuse des frères Kouachi » ( ahurissant papier trouvant beaucoup de circonstances atténuantes aux terroristes) avec ce commentaire : « À lire impérativement pour se ressaisir ».
Dans sa double page, Charlie cite aussi Emmanuel Todd, Jean-Marie Le Pen Tariq Ramadan, Dieudonné, Abd Al Malik, Thibaud Collin, Jean-Michel Longneaux, le roi de Jordanie, Delfeil de Ton, le pape François, avec des déclarations ambiguës ou franchement hostiles au droit au blasphème en ce mois de janvier 2015. On y trouve aussi les extraits d'une tribune collective, publiée par Le Monde le 14 janvier, et dans laquelle les auteurs multiplient les « mais » après la manifestation du 11 janvier, accusant, entre autres, l'Otan, Israël ou la police française.
Mais les deux vedettes de cette recension sont bien Despentes et Plenel. Charlie a reproduit des déclarations du début de l'année 2015, mais on aurait pu aller plus loin. Avec les mêmes.
En 2017, Plenel, brocardé à la une de Charlie pour sa complaisance à l'égard de Tariq Ramadan, réplique en parlant d'une « affiche rouge » (référence à une affiche de propagande du régime de Vichy)… Il accuse ensuite Charlie et d'autres de trouver « n'importe quel prétexte, n'importe quelle calomnie pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l'islam et les musulmans ».
Ou comment inverser les rôles. Le méchant, l'agresseur, c'est Charlie. C'est donc là la « morale » de ces justiciers autoproclamés ? Dans une interview au Point il y a quelques semaines, l'avocat de Charlie Hebdo, Richard Malka, évoquait à propos des attentats de janvier 2015 les « complicités intellectuelles » et ajoutait ceci, après avoir cité Virginie Despentes : « Pour moi, ce courant intellectuel a du sang sur les mains et sur les lèvres. C'est lui qui arme les terroristes. »
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Les donneurs de leçon célèbres qui devraient avoir honte
Nadou a écrit:Virginie Despentes, dans Les Inrocks du 17 janvier 2015 :
« J'ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s'acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que de vivre à genoux. J'ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. […] Je les ai aimés jusque dans leur maladresse – quand je les ai vus armes à la main semer la terreur en hurlant “on a vengé le prophète” et ne pas trouver le ton juste pour le dire. Du mauvais film d'action, du mauvais gangsta rap. Jusque dans leur acte héroïque, quelque chose ne réussissait pas. Il y a eu deux jours comme ça de choc tellement intense que j'ai plané dans un amour de tous – dans un rayon puissant. »Edwy Plenel, « Lettre à la France », Mediapart, le 20 janvier :
« La proclamation de la liberté d'expression, cette défense du droit à la caricature, de ses excès ironiques ou moqueurs, qui accompagne la solidarité avec Charlie Hebdo, n'implique pas que notre vie publique doive s'abaisser et s'égarer dans la détestation d'une partie de notre peuple en raison de son origine, de sa culture ou de sa religion. La haine ne saurait avoir l'excuse de l'humour. »
Edwy Plenel, tweetant le 17 janvier un texte publié par Mediapart et intitulé « L'enfance miséreuse des frères Kouachi » ( ahurissant papier trouvant beaucoup de circonstances atténuantes aux terroristes) avec ce commentaire : « À lire impérativement pour se ressaisir ».
Dans sa double page, Charlie cite aussi Emmanuel Todd, Jean-Marie Le Pen Tariq Ramadan, Dieudonné, Abd Al Malik, Thibaud Collin, Jean-Michel Longneaux, le roi de Jordanie, Delfeil de Ton, le pape François, avec des déclarations ambiguës ou franchement hostiles au droit au blasphème en ce mois de janvier 2015. On y trouve aussi les extraits d'une tribune collective, publiée par Le Monde le 14 janvier, et dans laquelle les auteurs multiplient les « mais » après la manifestation du 11 janvier, accusant, entre autres, l'Otan, Israël ou la police française.
Mais les deux vedettes de cette recension sont bien Despentes et Plenel. Charlie a reproduit des déclarations du début de l'année 2015, mais on aurait pu aller plus loin. Avec les mêmes.
En 2017, Plenel, brocardé à la une de Charlie pour sa complaisance à l'égard de Tariq Ramadan, réplique en parlant d'une « affiche rouge » (référence à une affiche de propagande du régime de Vichy)… Il accuse ensuite Charlie et d'autres de trouver « n'importe quel prétexte, n'importe quelle calomnie pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l'islam et les musulmans ».
Ou comment inverser les rôles. Le méchant, l'agresseur, c'est Charlie. C'est donc là la « morale » de ces justiciers autoproclamés ? Dans une interview au Point il y a quelques semaines, l'avocat de Charlie Hebdo, Richard Malka, évoquait à propos des attentats de janvier 2015 les « complicités intellectuelles » et ajoutait ceci, après avoir cité Virginie Despentes : « Pour moi, ce courant intellectuel a du sang sur les mains et sur les lèvres. C'est lui qui arme les terroristes. »
L'hyper violence peut aussi être dans des images --- je suis Charlie , mais pas timbré pour encencer les caricatures --
Je ne suis pas suffisemment croyant pour tout comprendre -- je pense que la vie est plus importante que la provocation et la croyance -
Chacun est en droit de croire ce qu'il veut du moment que ça ne va pas contre nos institutions --
De toute façon nous avons à vivre avec les musulmans puisque l'Etat la désiré --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21425
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Les donneurs de leçon célèbres qui devraient avoir honte
ledevois a écrit:Nadou a écrit:Virginie Despentes, dans Les Inrocks du 17 janvier 2015 :
« J'ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s'acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que de vivre à genoux. J'ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. […] Je les ai aimés jusque dans leur maladresse – quand je les ai vus armes à la main semer la terreur en hurlant “on a vengé le prophète” et ne pas trouver le ton juste pour le dire. Du mauvais film d'action, du mauvais gangsta rap. Jusque dans leur acte héroïque, quelque chose ne réussissait pas. Il y a eu deux jours comme ça de choc tellement intense que j'ai plané dans un amour de tous – dans un rayon puissant. »Edwy Plenel, « Lettre à la France », Mediapart, le 20 janvier :
« La proclamation de la liberté d'expression, cette défense du droit à la caricature, de ses excès ironiques ou moqueurs, qui accompagne la solidarité avec Charlie Hebdo, n'implique pas que notre vie publique doive s'abaisser et s'égarer dans la détestation d'une partie de notre peuple en raison de son origine, de sa culture ou de sa religion. La haine ne saurait avoir l'excuse de l'humour. »
Edwy Plenel, tweetant le 17 janvier un texte publié par Mediapart et intitulé « L'enfance miséreuse des frères Kouachi » ( ahurissant papier trouvant beaucoup de circonstances atténuantes aux terroristes) avec ce commentaire : « À lire impérativement pour se ressaisir ».
Dans sa double page, Charlie cite aussi Emmanuel Todd, Jean-Marie Le Pen Tariq Ramadan, Dieudonné, Abd Al Malik, Thibaud Collin, Jean-Michel Longneaux, le roi de Jordanie, Delfeil de Ton, le pape François, avec des déclarations ambiguës ou franchement hostiles au droit au blasphème en ce mois de janvier 2015. On y trouve aussi les extraits d'une tribune collective, publiée par Le Monde le 14 janvier, et dans laquelle les auteurs multiplient les « mais » après la manifestation du 11 janvier, accusant, entre autres, l'Otan, Israël ou la police française.
Mais les deux vedettes de cette recension sont bien Despentes et Plenel. Charlie a reproduit des déclarations du début de l'année 2015, mais on aurait pu aller plus loin. Avec les mêmes.
En 2017, Plenel, brocardé à la une de Charlie pour sa complaisance à l'égard de Tariq Ramadan, réplique en parlant d'une « affiche rouge » (référence à une affiche de propagande du régime de Vichy)… Il accuse ensuite Charlie et d'autres de trouver « n'importe quel prétexte, n'importe quelle calomnie pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l'islam et les musulmans ».
Ou comment inverser les rôles. Le méchant, l'agresseur, c'est Charlie. C'est donc là la « morale » de ces justiciers autoproclamés ? Dans une interview au Point il y a quelques semaines, l'avocat de Charlie Hebdo, Richard Malka, évoquait à propos des attentats de janvier 2015 les « complicités intellectuelles » et ajoutait ceci, après avoir cité Virginie Despentes : « Pour moi, ce courant intellectuel a du sang sur les mains et sur les lèvres. C'est lui qui arme les terroristes. »
L'hyper violence peut aussi être dans des images --- je suis Charlie , mais pas timbré pour encencer les caricatures --
Je ne suis pas suffisemment croyant pour tout comprendre -- je pense que la vie est plus importante que la provocation et la croyance -
Chacun est en droit de croire ce qu'il veut du moment que ça ne va pas contre nos institutions --
De toute façon nous avons à vivre avec les musulmans puisque l'Etat la désiré --
Despentes et Plenel ne sont pas musulmans ...
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: Les donneurs de leçon célèbres qui devraient avoir honte
Nadou a écrit:ledevois a écrit:Nadou a écrit:Virginie Despentes, dans Les Inrocks du 17 janvier 2015 :
« J'ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s'acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que de vivre à genoux. J'ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. […] Je les ai aimés jusque dans leur maladresse – quand je les ai vus armes à la main semer la terreur en hurlant “on a vengé le prophète” et ne pas trouver le ton juste pour le dire. Du mauvais film d'action, du mauvais gangsta rap. Jusque dans leur acte héroïque, quelque chose ne réussissait pas. Il y a eu deux jours comme ça de choc tellement intense que j'ai plané dans un amour de tous – dans un rayon puissant. »Edwy Plenel, « Lettre à la France », Mediapart, le 20 janvier :
« La proclamation de la liberté d'expression, cette défense du droit à la caricature, de ses excès ironiques ou moqueurs, qui accompagne la solidarité avec Charlie Hebdo, n'implique pas que notre vie publique doive s'abaisser et s'égarer dans la détestation d'une partie de notre peuple en raison de son origine, de sa culture ou de sa religion. La haine ne saurait avoir l'excuse de l'humour. »
Edwy Plenel, tweetant le 17 janvier un texte publié par Mediapart et intitulé « L'enfance miséreuse des frères Kouachi » ( ahurissant papier trouvant beaucoup de circonstances atténuantes aux terroristes) avec ce commentaire : « À lire impérativement pour se ressaisir ».
Dans sa double page, Charlie cite aussi Emmanuel Todd, Jean-Marie Le Pen Tariq Ramadan, Dieudonné, Abd Al Malik, Thibaud Collin, Jean-Michel Longneaux, le roi de Jordanie, Delfeil de Ton, le pape François, avec des déclarations ambiguës ou franchement hostiles au droit au blasphème en ce mois de janvier 2015. On y trouve aussi les extraits d'une tribune collective, publiée par Le Monde le 14 janvier, et dans laquelle les auteurs multiplient les « mais » après la manifestation du 11 janvier, accusant, entre autres, l'Otan, Israël ou la police française.
Mais les deux vedettes de cette recension sont bien Despentes et Plenel. Charlie a reproduit des déclarations du début de l'année 2015, mais on aurait pu aller plus loin. Avec les mêmes.
En 2017, Plenel, brocardé à la une de Charlie pour sa complaisance à l'égard de Tariq Ramadan, réplique en parlant d'une « affiche rouge » (référence à une affiche de propagande du régime de Vichy)… Il accuse ensuite Charlie et d'autres de trouver « n'importe quel prétexte, n'importe quelle calomnie pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l'islam et les musulmans ».
Ou comment inverser les rôles. Le méchant, l'agresseur, c'est Charlie. C'est donc là la « morale » de ces justiciers autoproclamés ? Dans une interview au Point il y a quelques semaines, l'avocat de Charlie Hebdo, Richard Malka, évoquait à propos des attentats de janvier 2015 les « complicités intellectuelles » et ajoutait ceci, après avoir cité Virginie Despentes : « Pour moi, ce courant intellectuel a du sang sur les mains et sur les lèvres. C'est lui qui arme les terroristes. »
L'hyper violence peut aussi être dans des images --- je suis Charlie , mais pas timbré pour encencer les caricatures --
Je ne suis pas suffisemment croyant pour tout comprendre -- je pense que la vie est plus importante que la provocation et la croyance -
Chacun est en droit de croire ce qu'il veut du moment que ça ne va pas contre nos institutions --
De toute façon nous avons à vivre avec les musulmans puisque l'Etat la désiré --
Despentes et Plenel ne sont pas musulmans ...
Je n'ai jamais dit qu'ils le sont , mais j'ai à dire qu'au point ou nous en sommes en France avec cette ethnie faut faire avec -- de toute façon il en rentre des milliers et que pouvons nous faire si l'Etat est d'accord avec ça -
Ce que j'ai à dire aussi que prendre les armes pour des caricatures faut être cinglé -
Je suis pour la liberté de la presse et je consens qu'ils n'ont pas à avoir une écriture pour faire plaisir -
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21425
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: Les donneurs de leçon célèbres qui devraient avoir honte
Nous n'avons pas à vivre avec des gens qui nous tuent (250 morts officiels).
Les Despentes et Plenel sont des collabos. Collabos d'assassins.
Pour Plenel , en plus de l'ignominie, ce trotskiste du nom de Joseph Krasny à la LCR dont il vient,y joint la mégalomanie et le ridicule de se comparer aux résistants de 40 dont les noms étaient placardés sur les murs par les Allemands.
C'est un récidiviste: il avait pris fait et cause pour les terroristes palestiniens qui avaient assassiné des athlètes juifs en 1972 à Munich.
Il a plus la tête d'un collabo avec sa moustache que celle d'un résistant.
Un intéressant portrait du bonhomme a été dressé de lui par Pierre Péan et Philippe Cohen dans la "Face cachée du Monde" décrivant ses méthodes journalistiques. C'est à la suite de la parution de ce livre qu'il a été obligé de quitter le Monde.
Quant à Virginie Despentes cette femme à la dérive, complètement à côté de ses pompes du fait de son parcours, elle est plus à plaindre qu'autre chose, ce qui n'est pas la cas des Inrocks pleinement responsables de ce qu'ils publient.
Les Despentes et Plenel sont des collabos. Collabos d'assassins.
Pour Plenel , en plus de l'ignominie, ce trotskiste du nom de Joseph Krasny à la LCR dont il vient,y joint la mégalomanie et le ridicule de se comparer aux résistants de 40 dont les noms étaient placardés sur les murs par les Allemands.
C'est un récidiviste: il avait pris fait et cause pour les terroristes palestiniens qui avaient assassiné des athlètes juifs en 1972 à Munich.
Il a plus la tête d'un collabo avec sa moustache que celle d'un résistant.
Un intéressant portrait du bonhomme a été dressé de lui par Pierre Péan et Philippe Cohen dans la "Face cachée du Monde" décrivant ses méthodes journalistiques. C'est à la suite de la parution de ce livre qu'il a été obligé de quitter le Monde.
Quant à Virginie Despentes cette femme à la dérive, complètement à côté de ses pompes du fait de son parcours, elle est plus à plaindre qu'autre chose, ce qui n'est pas la cas des Inrocks pleinement responsables de ce qu'ils publient.
Forcheville- Messages : 2727
Date d'inscription : 16/03/2020
Localisation : Marseille
Re: Les donneurs de leçon célèbres qui devraient avoir honte
Forcheville a écrit:Nous n'avons pas à vivre avec des gens qui nous tuent (250 morts officiels).
Les Despentes et Plenel sont des collabos. Collabos d'assassins.
Pour Plenel , en plus de l'ignominie, ce trotskiste du nom de Joseph Krasny à la LCR dont il vient,y joint la mégalomanie et le ridicule de se comparer aux résistants de 40 dont les noms étaient placardés sur les murs par les Allemands.
C'est un récidiviste: il avait pris fait et cause pour les terroristes palestiniens qui avaient assassiné des athlètes juifs en 1972 à Munich.
Il a plus la tête d'un collabo avec sa moustache que celle d'un résistant.
Un intéressant portrait du bonhomme a été dressé de lui par Pierre Péan et Philippe Cohen dans la "Face cachée du Monde" décrivant ses méthodes journalistiques. C'est à la suite de la parution de ce livre qu'il a été obligé de quitter le Monde.
Quant à Virginie Despentes cette femme à la dérive, complètement à côté de ses pompes du fait de son parcours, elle est plus à plaindre qu'autre chose, ce qui n'est pas la cas des Inrocks pleinement responsables de ce qu'ils publient.
Que pouvons nous y faire , il y en a de plus en plus --ils rentrent par milliers --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21425
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
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