Les bobards de l'arracheur de dents expliqués par France-Info

par Diviciac Jeu 21 Mai - 21:37

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/coronavirus-emmanuel-macron-a-t-il-raison-de-dire-que-personne-ne-parlait-des-masques-début-mars/ar-BB14oVmb?ocid=spartanntp

Preuve à l'appui, un article du 26 janvier sur les masques alors que le charlatan Manu ose prétendre
"Ayons collectivement l'honnêteté de dire qu'au début du mois de mars et encore plus en février et en janvier personne ne parlait des masques"
Qui est non seulement une incohérence sémantique mais un bobard éhonté

https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/coronavirus-les-masques-en-rupture-de-stock-dans-les-pharmacies-d-ile-de-france-1579961484

Ayons collectivement l'honnêteté de dire que le petit Manu est un menteur .

par Diviciac Jeu 21 Mai - 22:58

Des inquiétudes dès le mois de janvier

Dès l'annonce des premiers cas de Covid-19 en France, de nombreux Français inquiets se sont rendus dans les pharmacies pour acheter des masques. "La plupart des officines", sont en rupture de stock en région parisienne expliquait dès le 26 janvier Martial Fraysse, président honoraire du Conseil régional de l'Ordre des pharmaciens et membre de l'académie nationale de pharmacie, à nos confrères de France bleu.
Un mois plus tard, plusieurs catégories de personnels soignants se sont également inquiétés d'un manque d'accès aux masques. Le syndicat “Jeunes Médecins” déplorait le 26 février que les médecins libéraux n’aient “bénéficié d’aucun matériel de protection lors de l’examen des patients (masques adaptés, tuniques de protection)”. Même inquiétude de la part de la Confédération des syndicats médicaux, le même jour, pour qui “il est maintenant indispensable que l’État passe aux actes et dote au plus vite les cabinets de médecins libéraux de toutes les protections possibles (masques, blouses jetables, lunettes) et de solutions hydroalcooliques”.
La question de l'accès aux masques de protection, y compris pour les soignants, s'est donc bien posée avant le début du confinement, contrairement à ce que dit Emmanuel Macron.

Il a donc encore menti …. CQFD

par dugenou Ven 22 Mai - 1:21

Diviciac a écrit:
Des inquiétudes dès le mois de janvier

Dès l'annonce des premiers cas de Covid-19 en France, de nombreux Français inquiets se sont rendus dans les pharmacies pour acheter des masques. "La plupart des officines", sont en rupture de stock en région parisienne expliquait dès le 26 janvier Martial Fraysse, président honoraire du Conseil régional de l'Ordre des pharmaciens et membre de l'académie nationale de pharmacie, à nos confrères de France bleu.
Un mois plus tard, plusieurs catégories de personnels soignants se sont également inquiétés d'un manque d'accès aux masques. Le syndicat “Jeunes Médecins” déplorait le 26 février que les médecins libéraux n’aient “bénéficié d’aucun matériel de protection lors de l’examen des patients (masques adaptés, tuniques de protection)”. Même inquiétude de la part de la Confédération des syndicats médicaux, le même jour, pour qui “il est maintenant indispensable que l’État passe aux actes et dote au plus vite les cabinets de médecins libéraux de toutes les protections possibles (masques, blouses jetables, lunettes) et de solutions hydroalcooliques”.
La question de l'accès aux masques de protection, y compris pour les soignants, s'est donc bien posée avant le début du confinement, contrairement à ce que dit Emmanuel Macron.

Il a donc encore menti …. CQFD

Mais bien sûr qu’il a menti. Il n’avait pas le matériel donc, il nous a raconté la messe... tout comme les respirateurs, les blouses pour les infirmières et aujourd’hui les tests.

par **Nadou** Ven 22 Mai - 10:15

Les masques n'ont pas manqué partout. L'approvisionnement a continué au compte-goutte dans les hôpitaux surtout IDF. Donc il n'y a pas eu RUPTURE.

par ledevois Ven 22 Mai - 11:06

Nadou a écrit:Les masques n'ont pas manqué partout. L'approvisionnement a continué au compte-goutte dans les hôpitaux surtout IDF. Donc il n'y a pas eu RUPTURE.

Ne pas distribuer n'est pas une rupture mais jouer sur les mots -

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