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LES DEUX AILES DE LREM...

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Message par frenchy35F Mar 9 Avr 2019 - 21:26

MR MACRON A INTERÊT A BIEN PILOTER CETTE STRUCTURE QUI CONTINUE , de temps en temps, A SE CIRER LES PLUMES....


LES 2 AILES NE SONT PAS TOUJOURS SYNCHRO....SUR CERTAINS SUJETS DE BASE ( RETRAITE, DEPENDANCE, TVA à 0 %...)


Ne faites pas attention à la critique. Elle vient généralement de personnes qui n' ont jamais rien fait d' autre et qui se réjouissent des problèmes de l' Autre...pas d' efforts positifs = arriérés négatifs
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Message par frenchy35F Mar 9 Avr 2019 - 21:49

extrait : 
"""Devant des députés d'En marche, Edouard Philippe a justifié lundi soir le débat actuel sur un possible décalage de l'âge légal de départ de la retraite en affirmant qu'il avait été "posé" par Emmanuel Macron lui-même. Mais, dans ce moment politique, le Premier ministre a démontré sa volonté d'être à l'initiative.
Avec sa prise de position sur le relèvement de l'âge légal de départ à la retraite, Edouard Philippe a créé des débats au sein même de sa majorité. Mais, a-t-il juré lundi soir devant des députés de La République en marche (LREM), il n'aurait jamais lancé ce débat sans le feu vert d'Emmanuel Macron. "Quand le président de la République dit qu'il faut ouvrir une question et poser le débat, on le fait. Personne au sein du gouvernement n'ouvre un débat sans que la question ne nous ait été adressée par le président de la République", a assuré le Premier ministre à des élus de la majorité lors d'une réunion à huis clos, dont l'AFP s'est fait l'écho.
De même, Edouard Philippe a nié tout "désalignement" avec Emmanuel Macron sur le sujet des retraites. "Il n'y en a pas. Il n'y en aura jamais", a-t-il indiqué selon des propos rapportés à l'agence par des participants.
Edouard Philippe s'invite dans le débat des retraites
Mi-mars, le Premier ministre, en jugeant "légitime" l'hypothèse de faire travailler "un peu plus longtemps" les Français, a ouvert la boîte de Pandore. Plusieurs de ses ministres, dont Agnès Buzyn (Affaires sociales) et Gérald Darmanin (Comptes publics), ont ensuite relayé l'idée dans les médias.
"Personne au sein du gouvernement n'ouvre un débat sans que la question ne nous ait été adressée par le Président"
En réponse, l'aile gauche d'En marche, portée par les députés Olivier Véran et Guillaume Chiche - tous deux ex-socialistes -, a dénoncé l'hypothèse émise par Matignon, quand les syndicats ont, eux, menacé de s'opposer à tout projet de réforme.
Il n'était pourtant pas prévu que le dossier des retraites s'invite tout de suite dans l'arène politique. Jean-Paul Delevoye, émissaire de l'exécutif sur ce sujet, mène des consultations avec les associations de retraités et les partenaires sociaux, et ces échanges doivent se terminer en juin.
C'est une fois les conclusions de Jean-Paul Delevoye rendues que les responsables politiques devaient prendre la main sur le dossier, en vue d'un débat parlementaire à l'automne.
La réforme de la dépendance en ligne de mire
Pourquoi Edouard Philippe a-t-il perturbé le calendrier? Matignon a d'abord voulu entamer dès maintenant le débat sur une autre réforme prévue pour le second semestre de l'année : celle de la dépendance.
À un journaliste qui lui faisait observer jeudi dernier que d'un côté, l'exécutif explique qu'on ne touchera pas à l'âge légal dans le cadre de la réforme des retraites mais que, de l'autre, on ne l'exclut pas dans le cadre de la réforme de la dépendance, Édouard Philippe a répondu que la question était posée "de la meilleure des façons", raconte l'AFP.
"Je pourrais reprendre tous les mots que vous avez dits", a encore ajouté le chef du gouvernement.
Mais proposer de financer la dépendance en demandant aux Français de cotiser davantage ou de travailler plus longtemps s'est révélé plutôt explosif en pleine sortie du grand débat, sur fond de colère des Gilets jaunes.


"Si ce sont les technocrates qui décident, c'est la dernière station-service avant le désert"
C'est ce que regrettent une partie des députés d'En marche, emmenés par leur patron, Gilles Le Gendre. Ce dernier a fait part, mercredi dernier, de son "exaspération" : "Ce n'était pas absolument indispensable d'ouvrir ce débat [sur l'âge légal de départ à la retraite]."
Selon des propos rapportés la semaine dernière par Le Canard enchaîné, Jean-Paul Delevoye est, lui, particulièrement remonté contre "les cons de Matignon qui défendent une mesure uniquement comptable, comme le départ à la retraite à 63 ans ou plus".
Interrogé sur ces propos par le JDD, un ministre abonde : "Si ce sont les technocrates qui décident, c'est la dernière station-service avant le désert."
Le "pack de droite" défend ses positions
Le débat sur le report de l'âge de la retraite a révélé une nouvelle fois la persistance d'un clivage droite-gauche au sein de la majorité. A la manœuvre, le "pack" de ministres venus de la droite et composé d'Edouard Philippe, de Gérald Darmanin, de Bruno Le Maire (Economie) et de Sébastien Lecornu (Collectivités territoriales).
En quelques semaines, ils ont chacun leur tour défendu des propositions issues de leur ancien camp : baisse de la première tranche d'impôt sur le revenu, retour du conseiller territorial - que défendait en son temps Nicolas Sarkozy -, réduction des dépenses publiques…
"On ne va pas se laisser dépasser par l'aile gauche!"
Une opération de lobbying que l'entourage de l'un des ministres concernés commentait dimanche dans nos colonnes : "On a le droit de faire un peu de politique. Au moment de prendre les décisions, on ne va pas se laisser dépasser par l'aile gauche!"
Sans se renier, Edouard Philippe tente de rassurer ses députés
Lundi soir, Edouard Philippe, en assurant avoir l'aval du chef de l'Etat, a tenté d'arrondir les angles avec les députés de sa majorité.


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