L'ultimatum se termine ce soir.
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
elaine a écrit:Je ne pouvais pas t´aider Zerbi sinon je l´aurais fait aussi, De plus ce n´était pas une critique.Zerbinette a écrit:Nadou retrouve sans doute sa gentillesse d'enseignante;elle aide les moins doués!
D'autres ex de l'E.N se montrent aussi natures;critiques et ironistes!Et sur le texte,et sur la technique!
Tu peux pas t'en passer de critiquer --
ledevois- Messages : 21425
Date d'inscription : 03/07/2017
Re: L'ultimatum se termine ce soir.
De quoi j´me mèleledevois a écrit:Tu peux pas t'en passer de critiquer --elaine a écrit:Je ne pouvais pas t´aider Zerbi sinon je l´aurais fait aussi, De plus ce n´était pas une critique.
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
et moi,pas votre tête de turc!Diviciac a écrit:Zerbinette a écrit:Nadou retrouve sans doute sa gentillesse d'enseignante;elle aide les moins doués!
D'autres ex de l'E.N se montrent aussi natures;critiques et ironistes!Et sur le texte,et sur la technique!
Elle aide les moins doués de sa coterie. Quand c'est Joseph qui se goure, elle le chambre comme je le fais avec vous.
Nadou de n'est pas Mère Teresa et moi pas l'Abbé Pierre .
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
ET S'IL N'EN RESTE QU'UN JE SERAIS CELUI LA
Des années que nous assistons à l'aveuglement de bon nombre d'hommes politiques et d'intellectuels sur les échecs économiques dramatiques du "socialisme réel". Encore aujourd'hui l'ultra gauche bobo tente avec la régularité d'un métronome des réhabilitations coupables et indécentes. Nous avons connu des plaidoyers vibrants face au communisme, au génocide des khmers rouges, vu défendre le maoïsme, le socialisme à la Castro, la terreur de Pinochet et quelques dizaines d'autres qui piétinaient les drapeaux de nos démocraties sous les applaudissements de quelques figures médiatiques enthousiasmés par cet esprit révolutionnaire. L'aveuglement des "sachants" ou des "croyants" a facilité et quelquefois légitimé la mort de milliers d'êtres humains. L'aveuglement des intelligences n'est pas question d'époque et il a manqué aux vénézueliens un "Soljenitsyne" pour porter leurs voix. L'occident démocrate semble enfin avoir entendu et une seule voix fait écho à celles des autocrates en place, la voix de Mélenchon. Quoiqu'il fasse, quoiqu'il dise à compter de ce jour il sera définitivement un traitre à nos valeurs républicaines, un traite à la démocratie, un traite à l'humanité souffrante. Honte à lui......
Des années que nous assistons à l'aveuglement de bon nombre d'hommes politiques et d'intellectuels sur les échecs économiques dramatiques du "socialisme réel". Encore aujourd'hui l'ultra gauche bobo tente avec la régularité d'un métronome des réhabilitations coupables et indécentes. Nous avons connu des plaidoyers vibrants face au communisme, au génocide des khmers rouges, vu défendre le maoïsme, le socialisme à la Castro, la terreur de Pinochet et quelques dizaines d'autres qui piétinaient les drapeaux de nos démocraties sous les applaudissements de quelques figures médiatiques enthousiasmés par cet esprit révolutionnaire. L'aveuglement des "sachants" ou des "croyants" a facilité et quelquefois légitimé la mort de milliers d'êtres humains. L'aveuglement des intelligences n'est pas question d'époque et il a manqué aux vénézueliens un "Soljenitsyne" pour porter leurs voix. L'occident démocrate semble enfin avoir entendu et une seule voix fait écho à celles des autocrates en place, la voix de Mélenchon. Quoiqu'il fasse, quoiqu'il dise à compter de ce jour il sera définitivement un traitre à nos valeurs républicaines, un traite à la démocratie, un traite à l'humanité souffrante. Honte à lui......
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Diviciac a écrit:Nadou a écrit:Au Venezuela, l'Assemblée Nationale, élue, est présidée par l'opposition donc par Guaido, ce qui n'a rien changé à la façon de gouverner de Maduro.
Imaginons une assemblée nationale FN en France et Macron qui ne changerait pas de gouvernement ... ça poserait un sérieux problème démocratique. Surtout que Maduro a été réélu dans des conditions douteuses.
Un peu comme si, en France, Gérard Larcher président du sénat qui n'a pas la même majorité se proclamait président de la République.
Non non, ils ont une assemblée nationale élue au suffrage universel pas de sénateurs. Comme notre Assemblée Nationale qui a vu élire au suffrage universel une majorité de LREM.
Les sénateurs sont élus par des élus, ce qui fausse d'ailleurs leur représentativité.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Zerbinette a écrit:et moi,pas votre tête de turc!Diviciac a écrit:
Elle aide les moins doués de sa coterie. Quand c'est Joseph qui se goure, elle le chambre comme je le fais avec vous.
Nadou de n'est pas Mère Teresa et moi pas l'Abbé Pierre .
Faut pas dramatiser, Zerbi, je vous chambre parfois un peu mais je ne vous ai jamais crevé un oeil avec un LBD.
«On est dans un régime autoritaire» avec «un pouvoir qui n'écoute pas, qui n'en fait qu'à sa tête, qui assiste à la souffrance des citoyens sans réagir».
Ségolène Royal
Diviciac- Messages : 43162
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Nadou a écrit:Diviciac a écrit:
Un peu comme si, en France, Gérard Larcher président du sénat qui n'a pas la même majorité se proclamait président de la République.
Non non, ils ont une assemblée nationale élue au suffrage universel pas de sénateurs. Comme notre Assemblée Nationale qui a vu élire au suffrage universel une majorité de LREM.
Les sénateurs sont élus par des élus, ce qui fausse d'ailleurs leur représentativité.
M'enfin, tu veux donc dire que quand, en France, le président n'avait plus la majorité à l'Assemblée c'est le président de l'Assemblée qui aurait dû prendre le pouvoir à l'Elysée et virer Mitterrand ou Chirac ?
Diviciac- Messages : 43162
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Diviciac a écrit:Nadou a écrit:Diviciac a écrit:
Un peu comme si, en France, Gérard Larcher président du sénat qui n'a pas la même majorité se proclamait président de la République.
Non non, ils ont une assemblée nationale élue au suffrage universel pas de sénateurs. Comme notre Assemblée Nationale qui a vu élire au suffrage universel une majorité de LREM.
Les sénateurs sont élus par des élus, ce qui fausse d'ailleurs leur représentativité.
M'enfin, tu veux donc dire que quand, en France, le président n'avait plus la majorité à l'Assemblée c'est le président de l'Assemblée qui aurait dû prendre le pouvoir à l'Elysée et virer Mitterrand ou Chirac ?
En France, c'est simple et prévu, tu te retrouves en cohabitation, le gouvernement change de camp et le président garde la défense et un rôle à l'international.
Donc au Vénézuela, Guaido se retrouverait premier ministre et c'est lui qui gouvernerait.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Nadou a écrit:Diviciac a écrit:
M'enfin, tu veux donc dire que quand, en France, le président n'avait plus la majorité à l'Assemblée c'est le président de l'Assemblée qui aurait dû prendre le pouvoir à l'Elysée et virer Mitterrand ou Chirac ?
En France, c'est simple et prévu, tu te retrouves en cohabitation, le gouvernement change de camp et le président garde la défense et un rôle à l'international.
Donc au Vénézuela, Guaido se retrouverait premier ministre et c'est lui qui gouvernerait.
La sitation au Venezuela me rappelle un souvenir que tu es peut-être trop jeune pour avoir :
"En 1970, les élections chiliennes mettent au pouvoir un gouvernement d’Unité Populaire sous l’autorité de Salvador Allende. Le pays est rapidement frappé par une crise économique ainsi qu’une agitation politique et sociale avec des manifestations et grèves financées entre autres par la CIA. En 1973 a lieu un coup d’Etat provoquant la mort de S. Allende et son gouvernement est remplacé par une dictature militaire dirigée par le général Pinochet qui est soutenu par les USA qui préfèrent donc une dictature à un gouvernement de gauche. "
Les USA ont organisé la misère , la révolte (Guaido ne se cache pas d'avoir des contacts avec Trump) pricipalement pour que leurs multinationales remettent la main sur le pétrole venezuelien. "America first" comme il dit .
Diviciac- Messages : 43162
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Justement,Qd on a gouté d'une dictature,on doit être échaudé!
Maduro ne vaut pas mieux que Pinochet.........
Mais ne pas laisser les américains s'immiscer ds la politique que veut ce peuple........et pas Mélanchon non plus!
Maduro ne vaut pas mieux que Pinochet.........
Mais ne pas laisser les américains s'immiscer ds la politique que veut ce peuple........et pas Mélanchon non plus!
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Zerbinette a écrit:Justement,Qd on a gouté d'une dictature,on doit être échaudé!
Maduro ne vaut pas mieux que Pinochet.........
Mais ne pas laisser les américains s'immiscer ds la politique que veut ce peuple........et pas Mélanchon non plus!
Les Américains comme partout ou ils s’immiscent ne lâche rien et préfère le cahot du pays --
Il y aussi que les Chinois ont beaucoup investi et ne veulent pas que les States profitent de leur travail --
Cela n'arrivera pas en France puisque nous n'avons rien --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21425
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Comment ça, nous n´avons rienledevois a écrit: Il y aussi que les Chinois ont beaucoup investi et ne veulent pas que les States profitent de leur travail --
Cela n'arrivera pas en France puisque nous n'avons rien --
Les chinois achètent nos vignobles et les saoudiens nos monuments.
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
elaine a écrit:Comment ça, nous n´avons rienledevois a écrit: Il y aussi que les Chinois ont beaucoup investi et ne veulent pas que les States profitent de leur travail --
Cela n'arrivera pas en France puisque nous n'avons rien --
Les chinois achètent nos vignobles et les saoudiens nos monuments.
C'est sur qu'ils ne sont pas venus en France pour tailler dans la dentelle -- et pour résorber le déficit public --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21425
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Diviciac a écrit:Nadou a écrit:Diviciac a écrit:
M'enfin, tu veux donc dire que quand, en France, le président n'avait plus la majorité à l'Assemblée c'est le président de l'Assemblée qui aurait dû prendre le pouvoir à l'Elysée et virer Mitterrand ou Chirac ?
En France, c'est simple et prévu, tu te retrouves en cohabitation, le gouvernement change de camp et le président garde la défense et un rôle à l'international.
Donc au Vénézuela, Guaido se retrouverait premier ministre et c'est lui qui gouvernerait.
La sitation au Venezuela me rappelle un souvenir que tu es peut-être trop jeune pour avoir :
"En 1970, les élections chiliennes mettent au pouvoir un gouvernement d’Unité Populaire sous l’autorité de Salvador Allende. Le pays est rapidement frappé par une crise économique ainsi qu’une agitation politique et sociale avec des manifestations et grèves financées entre autres par la CIA. En 1973 a lieu un coup d’Etat provoquant la mort de S. Allende et son gouvernement est remplacé par une dictature militaire dirigée par le général Pinochet qui est soutenu par les USA qui préfèrent donc une dictature à un gouvernement de gauche. "
Les USA ont organisé la misère , la révolte (Guarido ne se cache pas d'avoir des contacts avec Trump) pricipalement pour que leurs multinationales remettent la main sur le pétrole venezuelien. "America first" comme il dit .
Raquel Garrido ?
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Au Venezuela, les quartiers pauvres se détournent de Maduro ICI
Plusieurs manifestations de l’opposition ont eu lieu ces derniers jours dans certains bidonvilles de Caracas autrefois considérés comme des forteresses chavistes.
La plupart du temps, il s’en sort grâce à l’argent envoyé par son frère installé au Pérou. Trente-cinq ans, coupe impeccable, la parole douce et forte comme un tic d’enfance, Jairo Rodriguez a perdu son travail à la mairie de Petare, le plus grand bidonville de Caracas et fief historique du régime, où les affiches usées du président Nicolas Maduro flottent au gré du vent sur les façades des immeubles non moins décatis. Jairo avait refusé d’aller manifester contre les opposants. « J’ai simplement dit non, ils ne m’ont pas repris. » Depuis, il vit avec sa mère et un autre de ses frères. Il n’a ni travail ni aide sociale.
Le père de Jairo Rodriguez a toujours voté pour le parti d’Hugo Chavez, mentor et prédécesseur de l’actuel président. Sa mère aussi, même si depuis l’élection de Nicolas Maduro en 2013, remportée de justesse avec 50,6 % des voix, elle est devenue plus critique. Jairo, lui, a basculé. « Au début, c’était dur d’être dans l’opposition », glisse-t-il. Les quartiers José Felix Ribas, Fechas Patrias et Bombilla, qui forment le gros des troupes chavistes de Petare, envoyaient leurs hommes de main, les colectivos armados, dès la moindre initiative. « Ils nous menaçaient, ils promettaient de couper les subsides, parfois ils tiraient. »
Et puis la situation a changé. Le pays tout entier s’est effondré. L’économie a vu ses résultats se contracter de moitié. Les médicaments ont disparu. La nourriture s’est envolée des étals. La production de pétrole s’est écroulée. Et l’hyperinflation annuelle a atteint 1,7 million pour cent. « On n’avait déjà rien, souffle Jairo,alors vous imaginez. »
Comme partout ailleurs dans le pays, Petare connaît un exode de ses habitants. A l’échelle nationale, ils sont 2,6 millions de Vénézuéliens à avoir ainsi fui ces dernières années vers les pays voisins, environ 10 % de la population. Un volume sans précédent en Amérique latine.
Jairo Rodriguez n’est pas parti. Il s’est même affirmé comme leader de sa communauté de quartier. A travers son église aussi. « Les colectivos armados sont toujours là, mais nous sommes devenus majoritaires », souffle-t-il.
Chose impensable il y a encore quelques mois, Jairo a organisé des marches à Petare pour rejoindre les meetings de l’opposition, dans le centre-ville. D’autres ont suivi. Comme une traînée de poudre, plusieurs manifestations ont eu lieu ces derniers jours dans certains bidonvilles emblématiques : Catia, El Cementerio, La Candelaria ou La Pastora. Des noms qui résonnaient pourtant dans la mythologie chaviste comme autant de forteresses imprenables.
Plusieurs manifestations de l’opposition ont eu lieu ces derniers jours dans certains bidonvilles de Caracas autrefois considérés comme des forteresses chavistes.
La plupart du temps, il s’en sort grâce à l’argent envoyé par son frère installé au Pérou. Trente-cinq ans, coupe impeccable, la parole douce et forte comme un tic d’enfance, Jairo Rodriguez a perdu son travail à la mairie de Petare, le plus grand bidonville de Caracas et fief historique du régime, où les affiches usées du président Nicolas Maduro flottent au gré du vent sur les façades des immeubles non moins décatis. Jairo avait refusé d’aller manifester contre les opposants. « J’ai simplement dit non, ils ne m’ont pas repris. » Depuis, il vit avec sa mère et un autre de ses frères. Il n’a ni travail ni aide sociale.
Le père de Jairo Rodriguez a toujours voté pour le parti d’Hugo Chavez, mentor et prédécesseur de l’actuel président. Sa mère aussi, même si depuis l’élection de Nicolas Maduro en 2013, remportée de justesse avec 50,6 % des voix, elle est devenue plus critique. Jairo, lui, a basculé. « Au début, c’était dur d’être dans l’opposition », glisse-t-il. Les quartiers José Felix Ribas, Fechas Patrias et Bombilla, qui forment le gros des troupes chavistes de Petare, envoyaient leurs hommes de main, les colectivos armados, dès la moindre initiative. « Ils nous menaçaient, ils promettaient de couper les subsides, parfois ils tiraient. »
Hyperinflation
Et puis la situation a changé. Le pays tout entier s’est effondré. L’économie a vu ses résultats se contracter de moitié. Les médicaments ont disparu. La nourriture s’est envolée des étals. La production de pétrole s’est écroulée. Et l’hyperinflation annuelle a atteint 1,7 million pour cent. « On n’avait déjà rien, souffle Jairo,alors vous imaginez. »
Comme partout ailleurs dans le pays, Petare connaît un exode de ses habitants. A l’échelle nationale, ils sont 2,6 millions de Vénézuéliens à avoir ainsi fui ces dernières années vers les pays voisins, environ 10 % de la population. Un volume sans précédent en Amérique latine.
Jairo Rodriguez n’est pas parti. Il s’est même affirmé comme leader de sa communauté de quartier. A travers son église aussi. « Les colectivos armados sont toujours là, mais nous sommes devenus majoritaires », souffle-t-il.
Chose impensable il y a encore quelques mois, Jairo a organisé des marches à Petare pour rejoindre les meetings de l’opposition, dans le centre-ville. D’autres ont suivi. Comme une traînée de poudre, plusieurs manifestations ont eu lieu ces derniers jours dans certains bidonvilles emblématiques : Catia, El Cementerio, La Candelaria ou La Pastora. Des noms qui résonnaient pourtant dans la mythologie chaviste comme autant de forteresses imprenables.
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Pfff !Nadou a écrit:Diviciac a écrit:
La sitation au Venezuela me rappelle un souvenir que tu es peut-être trop jeune pour avoir :
"En 1970, les élections chiliennes mettent au pouvoir un gouvernement d’Unité Populaire sous l’autorité de Salvador Allende. Le pays est rapidement frappé par une crise économique ainsi qu’une agitation politique et sociale avec des manifestations et grèves financées entre autres par la CIA. En 1973 a lieu un coup d’Etat provoquant la mort de S. Allende et son gouvernement est remplacé par une dictature militaire dirigée par le général Pinochet qui est soutenu par les USA qui préfèrent donc une dictature à un gouvernement de gauche. "
Les USA ont organisé la misère , la révolte (Guarido ne se cache pas d'avoir des contacts avec Trump) pricipalement pour que leurs multinationales remettent la main sur le pétrole venezuelien. "America first" comme il dit .
Raquel Garrido ?
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Re: L'ultimatum se termine ce soir.
Les USA, bienfaiteur de l'humanité, grand pays humaniste au service de tous les peuples, c'est bien connu !
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
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