On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
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On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Votez Macron les retraités et vous serez heureux --
Chômage : les seniors et les précaires moins indemnisés à partir de mercredi
Le déficit de l'Unédic devrait s'élever à 3,8 Mds€ en 2017. PHOTOPQR/« L’ALSACE »/JEAN-FRANCOIS FREY
Par Catherine Gasté et Bérangère Lepetit
Le 30 octobre 2017 à 07h03
Les dés ont été jetés avant les élections quand François Hollande était encore président de la République, mais le changement des nouvelles règles d'indemnisation pour les chômeurs, c'est maintenant. A partir du 1 er novembre, les seniors et les précaires vont se voir appliquer un nouveau tour de vis. Des efforts substantiels inscrits dans la convention d'assurance chômage validée par l'Etat en avril dernier, qui visent à renflouer les caisses du régime Unédic (chargé de gérer et verser l'argent destiné à l'indemnisation) dont le déficit devrait atteindre 3,8 Mds€ en 2017 et la dette 37, 1 Mds€ fin 2018. Ce plan de mesures signé par tous les syndicats, sauf la CGT, permettra d'économiser 550 M€ en 2018, selon l'Unédic, et 930 M€ par an en rythme de croisière. Voici les gagnants et les perdants de la réforme.
Les chômeurs de 50 ans à 55 ans. A partir de mercredi, les nouveaux chômeurs de 50 ans ou plus à la date de fin de leur contrat de travail ne seront plus logés à la même enseigne. Jusqu'à présent, tous bénéficient d'une durée d'indemnisation maximale de trente-six mois. Dans deux jours, les demandeurs d'emploi âgés de 50 à 52 ans (au dernier jour de leur contrat) n'auront droit qu'à deux ans d'indemnités. Ceux qui perdront leur emploi entre 53 et 54 ans seront couverts pendant trente mois. Ils pourront néanmoins gagner six mois de plus s'ils acceptent une formation pendant la période. Seuls les chômeurs âgés de 55 ans et plus continueront de bénéficier d'un droit de trois ans d'indemnisation. Selon les calculs, ces modifications vont faire 37 000 perdants par an parmi les plus de 50-52 ans.
« Ce décalage correspond à la réalité du fait du recul de l'âge de la retraite. On ne peut pas faire croire aux gens qui se retrouvent au chômage à 51, 52 ou 53 ans qu'ils pourront attendre jusqu'à la retraite », explique Véronique Descacq, numéro deux de la CFDT. Pour mieux faire passer la pilule, il est prévu d'encourager les seniors âgés de 50 à 55 ans à se former en donnant un abondement sur leur compte personnel de formation (CPF) pouvant aller jusqu'à 500 heures.
Les précaires. Actuellement le système favorise les personnes qui cumulent plusieurs contrats courts, en particulier lorsqu'ils durent moins d'une semaine. Explication : la formule de calcul pour établir le montant de l'indemnité chômage prend en compte les jours fériés et les week-ends. Selon un exemple donné par l'Unédic, l'allocation journalière d'une personne ayant perçu 6 000 € via un CDD de dix-huit semaines sera de 31 € brut. Alors que celle d'une personne payée pareil pour la même durée, mais via 18 contrats de cinq jours, sera de 38,69 €. Soit cette différence de 25 %. La nouvelle règle ne retiendra plus que le nombre de jours effectivement travaillés. Selon l'Unédic, l'équivalent de 810 000 personnes par an (21 % des allocataires) parmi celles ayant des contrats très courts pourraient subir une baisse de leur revenu, allant de 1% à 30%.
Les cadres. Au moment de la rupture du contrat de travail, les salariés qui perçoivent des indemnités supérieures au minimum légal — le plus souvent des cadres — doivent attendre un certain nombre de jours avant de pouvoir toucher leurs allocations chômage. On appelle cela le délai de carence. A compter du 1er novembre, les personnes licenciées qui perçoivent ces indemnités dites « supralégales » dépassant 13 500 € vont bénéficier d'un différé d'indemnisation ramené de 180 à 150 jours maximum.
Concernant les licenciements économiques, le différé maximum ne change pas, il reste à 75 jours. Au total, 30 000 personnes devraient y gagner chaque année.
[size=24]Les droits des chômeurs vont-ils être revus à la baisse ? L'exécutif va-t-il reprendre le pilotage de la caisse d'assurance chômage (Unédic) gérée par les partenaires sociaux depuis sa création en 1958 ? Les questions fusent dans les couloirs de l'Unédic, et dans ceux des sièges syndicaux et patronaux où une certaine inquiétude est palpable. Emmanuel Macron l'a annoncé pendant sa campagne et confirmé lors de ses tête-à-tête avec les acteurs : après les ordonnances de la loi Travail, place à la formation professionnelle et surtout la réforme de l'assurance chômage.
Avec, au menu, l'extension du régime aux démissionnaires et aux indépendants ainsi que l'instauration d'un système de bonus-malus. « Les devoirs » des chômeurs, comme le répète l'exécutif, seront aussi sur la table. Un dossier ultra-sensible et potentiellement très coûteux aux contours encore flous, qui sera précisé dans les prochaines semaines. Les discussions avec les partenaires sociaux débuteront officiellement fin novembre lors d'une grande réunion multilatérale. Un projet de loi sera présenté au printemps 2018.
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http://www.leparisien.fr/economie/votre-argent/chomage-les-seniors-et-les-precaires-moins-indemnises-a-partir-de-mercredi-30-10-2017-7362312.php
Chômage : les seniors et les précaires moins indemnisés à partir de mercredi
La nouvelle convention, signée sous François Hollande, entre en vigueur le 1er novembre. Elle durcit notamment les conditions pour les chômeurs de 50 à 55 ans.
Le déficit de l'Unédic devrait s'élever à 3,8 Mds€ en 2017. PHOTOPQR/« L’ALSACE »/JEAN-FRANCOIS FREY
Par Catherine Gasté et Bérangère Lepetit
Le 30 octobre 2017 à 07h03
Les dés ont été jetés avant les élections quand François Hollande était encore président de la République, mais le changement des nouvelles règles d'indemnisation pour les chômeurs, c'est maintenant. A partir du 1 er novembre, les seniors et les précaires vont se voir appliquer un nouveau tour de vis. Des efforts substantiels inscrits dans la convention d'assurance chômage validée par l'Etat en avril dernier, qui visent à renflouer les caisses du régime Unédic (chargé de gérer et verser l'argent destiné à l'indemnisation) dont le déficit devrait atteindre 3,8 Mds€ en 2017 et la dette 37, 1 Mds€ fin 2018. Ce plan de mesures signé par tous les syndicats, sauf la CGT, permettra d'économiser 550 M€ en 2018, selon l'Unédic, et 930 M€ par an en rythme de croisière. Voici les gagnants et les perdants de la réforme.
Les perdants : les seniors et les précaires
Les chômeurs de 50 ans à 55 ans. A partir de mercredi, les nouveaux chômeurs de 50 ans ou plus à la date de fin de leur contrat de travail ne seront plus logés à la même enseigne. Jusqu'à présent, tous bénéficient d'une durée d'indemnisation maximale de trente-six mois. Dans deux jours, les demandeurs d'emploi âgés de 50 à 52 ans (au dernier jour de leur contrat) n'auront droit qu'à deux ans d'indemnités. Ceux qui perdront leur emploi entre 53 et 54 ans seront couverts pendant trente mois. Ils pourront néanmoins gagner six mois de plus s'ils acceptent une formation pendant la période. Seuls les chômeurs âgés de 55 ans et plus continueront de bénéficier d'un droit de trois ans d'indemnisation. Selon les calculs, ces modifications vont faire 37 000 perdants par an parmi les plus de 50-52 ans.
« Ce décalage correspond à la réalité du fait du recul de l'âge de la retraite. On ne peut pas faire croire aux gens qui se retrouvent au chômage à 51, 52 ou 53 ans qu'ils pourront attendre jusqu'à la retraite », explique Véronique Descacq, numéro deux de la CFDT. Pour mieux faire passer la pilule, il est prévu d'encourager les seniors âgés de 50 à 55 ans à se former en donnant un abondement sur leur compte personnel de formation (CPF) pouvant aller jusqu'à 500 heures.
Les précaires. Actuellement le système favorise les personnes qui cumulent plusieurs contrats courts, en particulier lorsqu'ils durent moins d'une semaine. Explication : la formule de calcul pour établir le montant de l'indemnité chômage prend en compte les jours fériés et les week-ends. Selon un exemple donné par l'Unédic, l'allocation journalière d'une personne ayant perçu 6 000 € via un CDD de dix-huit semaines sera de 31 € brut. Alors que celle d'une personne payée pareil pour la même durée, mais via 18 contrats de cinq jours, sera de 38,69 €. Soit cette différence de 25 %. La nouvelle règle ne retiendra plus que le nombre de jours effectivement travaillés. Selon l'Unédic, l'équivalent de 810 000 personnes par an (21 % des allocataires) parmi celles ayant des contrats très courts pourraient subir une baisse de leur revenu, allant de 1% à 30%.
Les gagnants : les cadres
Les cadres. Au moment de la rupture du contrat de travail, les salariés qui perçoivent des indemnités supérieures au minimum légal — le plus souvent des cadres — doivent attendre un certain nombre de jours avant de pouvoir toucher leurs allocations chômage. On appelle cela le délai de carence. A compter du 1er novembre, les personnes licenciées qui perçoivent ces indemnités dites « supralégales » dépassant 13 500 € vont bénéficier d'un différé d'indemnisation ramené de 180 à 150 jours maximum.
Concernant les licenciements économiques, le différé maximum ne change pas, il reste à 75 jours. Au total, 30 000 personnes devraient y gagner chaque année.
Le prochain chantier de Macron
[size=24]Les droits des chômeurs vont-ils être revus à la baisse ? L'exécutif va-t-il reprendre le pilotage de la caisse d'assurance chômage (Unédic) gérée par les partenaires sociaux depuis sa création en 1958 ? Les questions fusent dans les couloirs de l'Unédic, et dans ceux des sièges syndicaux et patronaux où une certaine inquiétude est palpable. Emmanuel Macron l'a annoncé pendant sa campagne et confirmé lors de ses tête-à-tête avec les acteurs : après les ordonnances de la loi Travail, place à la formation professionnelle et surtout la réforme de l'assurance chômage.
Avec, au menu, l'extension du régime aux démissionnaires et aux indépendants ainsi que l'instauration d'un système de bonus-malus. « Les devoirs » des chômeurs, comme le répète l'exécutif, seront aussi sur la table. Un dossier ultra-sensible et potentiellement très coûteux aux contours encore flous, qui sera précisé dans les prochaines semaines. Les discussions avec les partenaires sociaux débuteront officiellement fin novembre lors d'une grande réunion multilatérale. Un projet de loi sera présenté au printemps 2018.
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Chaque matin, l'actualité vue par Le Parisien
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Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Par Catherine Gasté et Bérangère Lepetit
Le 30 octobre 2017 à 07h03
Le 30 octobre 2017 à 07h03
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Pour critiquer le gouvernement actuel, certains font des recherches dans les archives:
Un projet de loi sera présenté au printemps 2018.
Un projet de loi sera présenté au printemps 2018.
Invité- Invité
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
elaine a écrit:Pour critiquer le gouvernement actuel, certains font des recherches dans les archives:
Un projet de loi sera présenté au printemps 2018.
En revenant lire, j'aurai au moins rigolé un bon coup !
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Nadou a écrit:Par Catherine Gasté et Bérangère Lepetit
Le 30 octobre 2017 à 07h03
C'est intéressant parce que cette réduction des droits explique la "réduction" fictive du nombre des chômeurs: le mec qui n'a plus droit à rien ne juge pas utile d'aller s'inscrire à Pole Emploi et est donc absent des statistiques.
Il est devenu invisible.
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Diviciac a écrit:Nadou a écrit:Par Catherine Gasté et Bérangère Lepetit
Le 30 octobre 2017 à 07h03
C'est intéressant parce que cette réduction des droits explique la "réduction" fictive du nombre des chômeurs: le mec qui n'a plus droit à rien ne juge pas utile d'aller s'inscrire à Pole Emploi et est donc absent des statistiques.
Il est devenu invisible.
Ils peuvent être Macroniste c'est leur droit ---mais ne pas lire ; -la c'est vraiment pire que tout -- ils ne savent pas lire ou ils le font exprès -- comment voulez vous avoir un échange avec eux -- ? écœuré --! après ils te disent que je m'explique mal -- J'EN AI MARRE --
La nouvelle convention, signée sous François Hollande, entre en vigueur le 1er novembre. Elle durcit notamment les conditions pour les chômeurs de 50 à 55 ans.
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Mais Ledev. réflechissez un peu. Vous nous ressortez un article de 2017 et un projet de loi sera présenté au printemps 2018. Vous ne trouvez pas que c´est un peu vieillot comme nouvelle.ledevois a écrit: Ils peuvent être Macroniste c'est leur droit ---mais ne pas lire ; -la c'est vraiment pire que tout -- ils ne savent pas lire ou ils le font exprès -- comment voulez vous avoir un échange avec eux -- ? écœuré --! après ils te disent que je m'explique mal -- J'EN AI MARRE --
La nouvelle convention, signée sous François Hollande, entre en vigueur le 1er novembre. Elle durcit notamment les conditions pour les chômeurs de 50 à 55 ans.
Invité- Invité
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
elaine a écrit:Mais Ledev. réflechissez un peu. Vous nous ressortez un article de 2017 et un projet de loi sera présenté au printemps 2018. Vous ne trouvez pas que c´est un peu vieillot comme nouvelle.ledevois a écrit: Ils peuvent être Macroniste c'est leur droit ---mais ne pas lire ; -la c'est vraiment pire que tout -- ils ne savent pas lire ou ils le font exprès -- comment voulez vous avoir un échange avec eux -- ? écœuré --! après ils te disent que je m'explique mal -- J'EN AI MARRE --
La nouvelle convention, signée sous François Hollande, entre en vigueur le 1er novembre. Elle durcit notamment les conditions pour les chômeurs de 50 à 55 ans.
Certes mais il n'est pas mauvais d'en mesurer les conséquences avec un peu de recul . 2017, c'était pas le Moyen-Age. .
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Votre haine de Macron vous rend débile .Diviciac a écrit:Certes mais il n'est pas mauvais d'en mesurer les conséquences avec un peu de recul . 2017, c'était pas le Moyen-Age. .
Pendant que vous y êtes, faites remonter des lois du temps de de Gaulle. C´était pas le Moyen-Âge non plus.
Invité- Invité
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Diviciac a écrit:elaine a écrit:
Mais Ledev. réflechissez un peu. Vous nous ressortez un article de 2017 et un projet de loi sera présenté au printemps 2018. Vous ne trouvez pas que c´est un peu vieillot comme nouvelle.
Certes mais il n'est pas mauvais d'en mesurer les conséquences avec un peu de recul . 2017, c'était pas le Moyen-Age. .
On est en 2019 et ce sont des mesures dont nous allons y avoir droit --- quelle nouvelles vieillottes -? puisque c'est d'actualité --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
Age : 84
Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
... ainsi on peut remonter les dizaines de conneries de tonton la Mitte dont on subit les conséquences aujourd'hui.elaine a écrit:Votre haine de Macron vous rend débile.Diviciac a écrit:Certes mais il n'est pas mauvais d'en mesurer les conséquences avec un peu de recul . 2017, c'était pas le Moyen-Age. .
Pendant que vous y êtes, faites remonter des lois du temps de de Gaulle. C´était pas le Moyen-Âge non plus.
Invité- Invité
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
et alors.... C´est de votre faute, il ne fallait pas voter pour celui qui a pris ces mesures.ledevois a écrit:Diviciac a écrit:Certes mais il n'est pas mauvais d'en mesurer les conséquences avec un peu de recul . 2017, c'était pas le Moyen-Age. .
On est en 2019 et ce sont des mesures dont nous allons y avoir droit --- quelle nouvelles vieillottes -? puisque c'est d'actualité --
Invité- Invité
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
elaine a écrit:Votre haine de Macron vous rend débile .Diviciac a écrit:Certes mais il n'est pas mauvais d'en mesurer les conséquences avec un peu de recul . 2017, c'était pas le Moyen-Age. .
Pendant que vous y êtes, faites remonter des lois du temps de de Gaulle. C´était pas le Moyen-Âge non plus.
Dites, Elaine , vous êtes vraiment sûre d'être un modèle de courtoisie forumique ?
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
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Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
elaine a écrit:et alors.... C´est de votre faute, il ne fallait pas voter pour celui qui a pris ces mesures.ledevois a écrit:
On est en 2019 et ce sont des mesures dont nous allons y avoir droit --- quelle nouvelles vieillottes -? puisque c'est d'actualité --
Je ne vote pas à gauche -- je n'ai jamais voté à gauche -ni pour celui qui se dit un coup de gauche et un coup de droite - genre qui tu sais --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
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Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
J´ai le droit moi aussi à un dérapage de temps en tempsDiviciac a écrit:elaine a écrit:
Votre haine de Macron vous rend débile .
Pendant que vous y êtes, faites remonter des lois du temps de de Gaulle. C´était pas le Moyen-Âge non plus.
Dites, Elaine , vous êtes vraiment sûre d'être un modèle de courtoisie forumique ?
Invité- Invité
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
Date d'inscription : 03/07/2017
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Localisation : Cévennes France--Tarragone catalogne
Diviciac- Messages : 43162
Date d'inscription : 02/07/2017
Localisation : IdF et Morvan
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
ledevois a écrit:Diviciac a écrit:Nadou a écrit:Par Catherine Gasté et Bérangère Lepetit
Le 30 octobre 2017 à 07h03
C'est intéressant parce que cette réduction des droits explique la "réduction" fictive du nombre des chômeurs: le mec qui n'a plus droit à rien ne juge pas utile d'aller s'inscrire à Pole Emploi et est donc absent des statistiques.
Il est devenu invisible.
Ils peuvent être Macroniste c'est leur droit ---mais ne pas lire ; -la c'est vraiment pire que tout -- ils ne savent pas lire ou ils le font exprès -- comment voulez vous avoir un échange avec eux -- ? écœuré --! après ils te disent que je m'explique mal -- J'EN AI MARRE --
La nouvelle convention, signée sous François Hollande, entre en vigueur le 1er novembre. Elle durcit notamment les conditions pour les chômeurs de 50 à 55 ans.
En novembre 2017 ou 2019 ?
Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que tu comprends
Re: On ne peut plus s'en passer d'être moins indemnisées et de passer à la caisse --
Nadou a écrit:ledevois a écrit:
Ils peuvent être Macroniste c'est leur droit ---mais ne pas lire ; -la c'est vraiment pire que tout -- ils ne savent pas lire ou ils le font exprès -- comment voulez vous avoir un échange avec eux -- ? écœuré --! après ils te disent que je m'explique mal -- J'EN AI MARRE --
La nouvelle convention, signée sous François Hollande, entre en vigueur le 1er novembre. Elle durcit notamment les conditions pour les chômeurs de 50 à 55 ans.
En novembre 2017 ou 2019 ?
Ils viennent d'en parler aux informations et c'est pour 2019 -- Les retraités agonisent avec la CSG et toutes les autres augmentations ! Aucune info ne sort des médias radios et télévisions !
Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort, le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. La vie, c'est le train, ce n'est pas la gare.
ledevois- Messages : 21434
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